nouvelle cosmologie de mario cosentino

 

Curiosité Un Big bang liquide et non gazeux 4 juillet, 2011

Classé dans : Non classé — mario cosentino @ 18:46

 

 

Curiosité

Un Big bang liquide et non gazeux


Note de présentation
Différents articles
ont annoncé que, moins de deux semaines après
les premières collisions d’ions lourds
le 8 novembre 2010 dans les détecteurs Alice,
CMS et Atlas, les physiciens de la collaboration Alice
ont publié de premiers résultats. Les
mesures confirmeraient que quelques millionièmes
de seconde après le Big Bang, l’univers
était rempli par un liquide de quarks et de
gluons, et non pas par un gaz, comme on le croyait
il y a encore 5 ans. On peut lire à ce sujet
un excellent article de Futura
Sciences
.

Nous
avons pour notre part reçu le 15 décembre
un article de Mario Cosentino, qui pense selon ses
termes, avoir devancé cette expérience
au point de vue théorique. Selon lui, il avait
proposé un nouveau modèle cosmologique
qui expliquerait le phénomène observé
au Cern, tout en offrant de nouvelles perspectives
pour la compréhension de nombreux phénomènes
astronomiques.

Les
éditeurs de sites à vocation scientifique
reçoivent souvent de tels articles. Généralement
ils ne les éditent pas, ne disposant pas de
comités de lecture compétents à
qui les soumettre. C’est notre cas. Néanmoins,
nous publions ci-dessous l’article de Mario Cosenttino,
à titre d’information et sans garantie aucune
concernant sa pertinence. Nous ne modifions pas le
style très particulier de l’auteur. Nos lecteurs
ayant des compétences en physique apprécieront
ce qu’il en est. Automates Intelligents

Pour
en savoir plus

* Mario Cosentino http://fdier.free.fr/index2.htm

adresse electronique  mario.cosentino@hotmail.fr
* Article de Fusion

http://www.areopage.net/Fusion93.html

 

 


 

Mario
COSENTINO Saint-Etienne, Décembre 2010
mario.cosentino@hotmail.fr

Les
physiciens, de la collaboration ALICE, ont réalisé
cette expérience au CERN en Novembre 2010.
Elle

montre que quelques microsecondes après le
BIG BANG, correspondant à la naissance de notre
Univers, celui-ci était « liquide »
et non gazeux.

Cette
expérience a été devancée,
au niveau théorique, par Mario Cosentino (
qui a une Licence de Sciences Physiques et enseigne
la Mathématique et la Physique ) et Didier
Cornuet Ingénieur retraité du CERN.
En effet, tous les deux ont publié un article
dans une revue de physique nommée FUSION en
date de Mai-Juin 1996. Egalement M. Cosentino a déposé
un mémoire à l’Académie
des Sciences de Paris sous le pli cacheté n°
17774 accepté en séance du 15 décembre
2006. Tous ses travaux de recherche ont également
eu les félicitations d’un jury composé
de scientifiques à l’Université
Jean-Monnet de Saint-Etienne. Ce jury lui reconnait,
entre autres, la découverte d’une formule
très simple qui lui a permis de prévoir
la distribution des objets « transneptuniens »
comme par exemple la petite planète Sedna.

L’expérience
des physiciens du CERN confirme, une fois de plus,
que le modèle d’Univers que développe
Mario Cosentino , depuis 1988, est toujours sur la
bonne voie.
Son modèle d’Univers s’appelle le
NEW BIG BANG . Sur cette nouvelle cosmologie M. Cosentino
a publié deux livres : un pour le grand
public (publié en 1993 Editions Bonnefoy )
et le second pour les étudiants, enseignants
et chercheurs. D’ailleurs, son deuxième
livre, le « NEW BIG BANG » —
publié en 2001 aux Editions Apolline avec le
prologue de l’Astronome Bernard Milet ancien
expert de l’Union Astronomique Internationale
UAI — est épuisé chez l’éditeur.
Depuis maintenant plus de 20 années, grâce
à ses travaux de recherche M.Cosentino n’arrête
pas de dire que le modèle d’Univers où
l’espace se dilate est faux !
M. Cosentino, au contraire, avance que notre Univers
n’est plus aujourd’hui en dilatation ou
en expansion !
Il écrit lui-même qu’à l’horizon
2010 la cosmologie officielle aura affaire à
des problèmes observationnels « insurmontables
qui risquent de signer sa ruine. »
Dans un très proche avenir, il est prévu,
que les astronomes observeront des galaxies vieilles

‘collées’ au Big Bang… déjà
les observations nous font sentir le ‘brulé’…
Comment ces galaxies, très proches du Big Bang,
ont-elles trouvé le temps pour se former ?…
La panique est pour bientôt…

Qu’en
est-il aujourd’hui des problèmes
prévus par M. Cosentino?
Les ‘problèmes insurmontables’ sont-ils
bien là ?
Laissons parler les spécialistes :

Dans
son livre très technique « COSMOLOGIE »,
publié en 2010, James A. Rich, physicien au
Commissariat à l’énergie atomique
de Saclay déclare concernant une expansion
accéléré :
« Si ce fait n’est pas considéré
comme totalement établi, c’est uniquement
parce qu’il est extrêmement surprenant. »
Plus loin il ajoute :
« Il est clair qu’il y aura toujours
des doutes sur le modèle cosmologique ?CDM
tant que la matière noire n’aura pas été
identifiée »

Etienne
Klein, qui dirige le laboratoire de recherche sur
les sciences de la matière au Commissariat
à l’énergie atomique et enseigne
à l’Ecole centrale, écrit dans
son livre « Discours sur l’origine
de l’univers » ( 2 010 ) :
« Ne concluons donc pas de façon
trop tranchée, d’autant que la cosmologie
est peut-être au bord d’une révolution
susceptible de complètement changer la donne. »

Dans
l’ouvrage « Le big bang n’est
pas une théorie comme les autres »(
2 009 ), un livre réalisé par de
nombreux auteurs, nous lisons :

« En
nous livrant un Univers composé à 96%
de matière et d’énergie noires
inconnues, le big bang semble poser autant — sinon
plus — de questions qu’il n’en résout.
En ce sens, il apparaît plus comme une paramétrisation
de notre ignorance que comme une modélisation
d’un phénomène. »

John
W. Moffat , sur les traces d’Isaac Newton,
étudie la physique théorique au Trinity
Collège, à Cambridge. Il est Professeur
émérite de physique à l’Université
de Toronto et chercheur à l’Institut Perimeter
pour la physique théorique, à Waterloo,
en Ontario. Voici ce qu’il écrit dans
son livre « La Gravité REINVENTEE »
( 2008 )
« La matière sombre, l’énergie
sombre et l’accélération de l’Univers,
sont des principaux problèmes de la physique
et de la cosmologie modernes. »

Dans
toutes ces références c’est M.
Cosentino qui souligne.

Nous
comprenons, à travers ces citations, que la
cosmologie dominante est dans une véritable
impasse. Elle est dans une ignorance déroutante.
Tout est remis en question . C’est comme si on
faisait un retour à la cosmologie de 100 ans
en arrière !
N’oublions pas que le système d’Univers,
de Claude Ptolémée, a fait perdre à
la science quelques 1 500 années !
Et pourtant ce n’est pas les moyens qui manquent.

-2-

Pour M. Cosentino le problème de fond n’est
pas le Big Bang mais c’est de croire qu’
aujourd’hui notre Univers est encore en expansion.
Notre Univers a été en expansion pendant
quelques 18 milliards d’années et maintenant
il est complètement statique, et en rotation,
depuis au moins 100 milliards d’années !
Son modèle d’Univers résout avec
une grande simplicité les grandes énigmes
cosmologiques sans rien modifier aux lois de la physique
que l’on connaît déjà. Son
modèle démontre que l’Univers obéit
à une sorte de « code cosmique »
— à une sorte de programmation gigantesque.
En somme notre Univers serait un gigantesque ordinateur
calculateur. Il calcule de façon à pouvoir
conserver ses caractéristiques à un
niveau constant c’est-a-dire indépendamment
du temps qui passe . Donc, notre Univers, ne mourra
jamais !

Revenons
à notre Big Bang ‘liquide’. Découvrir
que notre Univers a eu une phase ‘liquide’
a des conséquences très révolutionnaires.
Selon les prévisions du modèle cosmologique
du NEW BIG BANG le ‘liquide’ constituant
la ‘soupe originelle’ n’est pas un
liquide ordinaire. Cette « soupe liquide »
a presque une viscosité nulle. En d’autres
termes elle n’offre aucune résistance
au déplacement. Si vous feriez mouvoir votre
main dans ce liquide vous ne sentiriez aucune résistance.

Cette propriété a d’autres conséquences
en cosmologie. Selon les travaux de recherche de M.
Cosentino lorsque notre Univers s’était
refroidi ce ‘liquide’ se serait transformé
en hélium superfluide à une température
de quelques -270°C. L’hélium superfluide
a la particularité de stabiliser la température
du vide glacial intergalactique afin que notre Univers
ne finisse pas congelé à une température
de -273°C. Cette dernière température
signifierait la « mort thermique »
de notre Univers et par voie de conséquence
du Soleil et évidemment de l’humanité.
Mais grâce à cet hélium notre
Univers a la possibilité de se régénérer.
La masse de cet hélium représente 45%
de la masse totale de l’Univers contre 50% d’énergie
du vide. Le reste — gaz, poussières et étoiles
ne représente que quelques 5% de la masse totale
de l’Univers !
En plus, cet hélium superfluide est un excellent
candidat à la mystérieuse matière
noire.

Encore
une dernière formidable particularité
de cette soupe liquide :
quelques microsecondes après le Big Bang l’apparition
de cette « soupe liquide » casse
le couplage entre matière et antimatière.
En d’autre termes nous avons à faire à
un Big Bang qui donne naissance non pas un Univers
mais à 2 Univers à parité opposée
— c’est -à-dire un Univers ( le notre
fait de matière ) et le second fait d’antimatière !
Ces 2 Univers sont, heureusement, très éloignés
l’un de l’autre et tournent autour de leur
barycentre commun.
Notre Univers a décidément toutes les
propriétés pour qu’il fasse bon
de vivre sous un beau ciel étoilé…

 

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