nouvelle cosmologie de mario cosentino

 

LETTRE OUVERTE A TOUS LES ASTROPHYSICIENS ET PHYSICIENS 1 août, 2013

Classé dans : Non classé — mario cosentino @ 13:34

Mario Cosentino le 23 décembre 2012

Voici une lettre adressée à tous les astrophysiciens et physiciens pour  »prendre date »

En ce qui me concerne ma signature elle fait partie de la liste en référence que voici :

http://cosmologystatement.org/

LETTRE OUVERTE A TOUS LES ASTROPHYSICIENS ET PHYSICIENS

Chère Madame, Cher Monsieur,

Voici un article concernant une liste ( non exhaustive ) des indices qui semblent

nous indiquer que notre Univers ne serait plus en expansion…

Je comprends parfaitement bien que, pour vous et bien d’autres, cette hypothèse vous donne ( peut-être )  »froid dans le dos »!

Mais la liste que j’ai réunie repose sur des faits basés sur des observations astronomiques.

Aujourd’hui je peux dire que le modèle cosmologique du « New Big-Bang Fractal » ( « NBBF » ) quantique réunit les 3 conditions suivantes:

-premièrement: ses équations, contrairement au modèle d’Univers standard, ne font appel à aucun paramètre libre et possèdent des démonstrations. Il n’utilise que les constantes fondamentales de la physique comme, par exemple, G, c, h, α.

-deuxièmement: il possède une logique donc une cohérence interne

-troisièmement: de plus en plus de prévisions sont confirmées soit par des observations astronomiques soit par des expériences comme par exemple celles menées au CERN.

Voici quelques exemples fondamentaux des prévisions, du  »NBBF » , qui se sont avérées exactes:

–un Big-Bang liquide mais non gazeux ( la responsable de l’équipe de recherche du CERN ne s’oppose pas à ce que le  »NBBF » possède la primauté théorique de cette observation

–une masse du boson de Higgs très proche de la valeur observée

–Observations des galaxies moins 1 milliards d’années après le Big-Bang

–un paramètre Ω = 1

–d’autres sont sur la bonne voie

Aujourd’hui je ne suis plus seul dans ce type de recherche. Nous sommes un groupe de recherche indépendant réunissant de nombreuses disciplines très pointues. Nos thèmes de recherche fondamentale s’orientent vers des études qui semblent ouvrir de nouvelles pistes qui sembles prometteuses comme:

–la dimension fractale de l’espace-temps en cosmologie quantique

-une nouvelle hypothèse concernant les propriétés de la température de notre Univers à T = 2,726 K. Cette température pourrai-elle être constante?

-la mécanique des fluides et la Relativité Générale

-l’hypothèse de l’hélium superfluide, à une température T = 2,18 K , comme candidat sérieux à la matière sombre

-l’énergie sombre comme « éther moderne »

-une nouvelle hypothèse sur l’interaction entre les photons et ce nouvel « éther moderne » et ses conséquences sur l’interprétation des décalages spectraux z vers le rouge en cosmologie

-l’hypothèse de la « granularité » de l’espace-temps » et ses conséquences sur l’interprétation des décalages spectraux z vers le rouge en cosmologie

-l’hypothèse d’une relation entre le plan Soleil-Jupiter-OJ 287

-l’hypothèse d’un Big-Bang qui donnerait naissance non à 1 Univers mais à 2 Univers à parité opposée. Cette hypothèse semble répondre à la question: où est passée l’antimatière?

-la recherche d’équations thermodynamiques nous conduisant à une hypothèse où il n’y aurait aucune  »mort thermique » de notre Univers

Nous sommes de plus en plus convaincu que, devant les observations de plus en plus performantes , l’ « état des lieux » de la cosmologie dominante expansionniste est de moins en moins crédible. Devant cet « état des lieux » , d’un avis d’un spécialiste , la situation est très inconfortable.

Cet « état des lieux » cela fait maintenant quelques 20 que je l’attends. En effet c’est depuis janvier 1993 que je tire la  »sonnette d’alarme » ( voir mon tome 1 ). En 1995 le télescope spatial Hubble avait déjà confirmé une des prévision du  »NBBF » qui concernait le fait que viendrait un jour où l’on observerait «des étoiles plus vieilles que notre Univers»! Il n’était pas facile à cette époque de faire ce type de prévision car, dans ces années là, la cosmologie dominante expansionniste « semblait couler comme un grand fleuve tranquille » …

Bien des fois mon modèle d’Univers à été ridiculisé sans aucune véritable justification.

Mais, maintenant, le vent semble changer de direction… c’est la raison pour laquelle je ne suis plus seul dans ce genre de recherche fondamentale.

Convaincu que cet « état des lieux » va encore s’aggraver ( car, selon les prévisions du « NBBF » , dans un proche avenir un changement de paradigme sera nécessaire si on veux sortir de l’impasse paradoxale fondamentale qui semble pointer à l’horizon ) j’ai récemment envoyé une lettre ouverte à l’Union Astronomique Internationale ( UAI ).

Restant dans l’espoir d’un prochain contact, acceptez, Chère Madame, Cher Monsieur, l’assurance de ma considération distinguée.

Mario Cosentino

Enseignant en Mathématiques & Physique

Formation Universitaire en Astronomie & Astrophysique

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Voici l’article concernant les:

 »Indices qui semblent nous indiquer que notre Univers ne serait plus en expansion  »

Mario Cosentino le jeudi 21 décembre 2012

INDICES BASES SUR DES OBSERVATIONS QUI SEMBLENT NOUS INDIQUER QUE NOTRE UNIVERS NE SERAIT PLUS EN EXPANSION

INTRODUCTION

De plus en plus d’observations nous montrent que des galaxies lointaines ressemblent aux galaxies locales.

Dans le cadre de la cosmologie dominante expansionniste qui soutien un Univers évolutif cela cause un véritable problème.

Comment pourrait-on expliquer ce types d’observations?

La théorie cosmologique du  »New Big-Bang Fractale » (  »NBBF ») quantique nous dit que si l’Univers lointain ressemble à notre Univers local c’est que cela pourrait traduire le fait que notre Univers ne serait plus aujourd’hui en expansion…

LES 3 POSTULATS OU HYPOTHESES DE BASE DU  »NBBF »

Voici les postulats ou hypothèses proposés par le  »NBBF » résumé en 3 grandes phases fondamentales:

1-un Big-Bang donnant naissance à 2 Univers à parité opposée de même masse — l’un de matière et l’autre d’antimatière. Du fait que dans les équations du  »NBBF » mettent en évidence l’existence d’un barycentre cela signifierait que ces 2 Univers tourneraient l’un autour de l’autre.

2-A cause du Big-Bang notre Univers serait entrer en phase d’expansion. Cette expansion aurait durée quelques 18 milliards d’années. Cette dilatation se serait faite par sauts quantifiés. Après cette période d’expansion notre Univers aurait stoppé sa dilatation devant ainsi globalement statique.

3-Cette phase où l’ Univers serait devenu globalement statique n’est pas exclue dans un Cosmos ou il y aurait un équilibre dynamique entre l’énergie potentielle due à l’attraction de la gravitation et l’énergie cinétique ou répulsive due à l’énergie du vide quantique ou énergie sombre.

Dans le cadre d’un Univers basé uniquement sur la gravitation ce Cosmos globalement statique est impossible. Par contre cette hypothèse devient du domaine du possible dans un Univers quantique. Selon les équations du  »NBBF » cet Univers globalement statique serait maintenu en équilibre par 2 sortes de vibrations. Les premières seraient des  »vibrations radiales » et les secondes des  »oscillations périphériques ».

Depuis combien de temps notre Univers serait-il dans cette phase globalement statique?

Selon certaines observations il le serait depuis au moins quelques 60 milliards d’années. D’autres calculs nous donnent une durée minimale entre 100 et 180 milliards d’années.

En tout cas avec cette phase globalement statique notre Univers aurait largement le temps d’édifier les étoiles, les galaxies, les amas de galaxies, les super-amas de galaxies voir les  »murailles de galaxies »…

En effet comment expliquer une des très gigantesques structures galactiques comme le grand  »mur » d’une longueur estimée à 3,5 milliards d’années-lumière, d’une largeur de 2,5 milliards d’années-lumière et de 50 millions d’années-lumière d’épaisseur dans un Univers qui aurait que seulement 13,7 milliards d’années?

Rendons-nous compte que ce  »mur » représente un ordre de grandeur de l’ordre de presque 1 / 4 du rayon observable de notre Univers!

Or ce  »mur » , à lui seul, va à l’encontre du principe cosmologique parfait si cher au modèle d’Univers standard!

Pour quelle raison?

Pour la raison toute simple que voici:

les équations du modèle d’Univers standard reposent sur l’acceptation de l’hypothèse que la distribution de la matière dans l’Univers soit homogène. Or on vient de voir que les

dimensions de ce titanesque  »mur de galaxies » représente presque 1 / 4 du rayon observable de notre Univers rompant l’homogénéité si utile à la cosmologie dominant!

Si l’hypothèse d’une distribution de la matière dans l’espace-temps ne serait pas vérifiée cela ferait éclater les bases mêmes de l’édifice de la cosmologie standard car les équations reposant sur la gravitation ne seraient valables que dans notre Univers local mais ne pourraient pas être appliquées à l’ensemble de l’Univers…

Selon vous ce  »mur » ne mettrait -il pas au  »pied du mur » le modèle cosmologique dominant expansionniste?

Dans cette phase où notre Univers serait devenu globalement statique notre Cosmos n’aurait à subir aucune  »mort thermique » car sa température actuelle de 2,726 K, qu’il aurait acquise au début de cette phase 3, serait devenue une propriété intrinsèque du vide quantique inter galactique. Pour quelle raison notre Univers aurait-il cette température de 2,726 K? Une hypothèse, qui aujourd’hui est plus qu’une simple hypothèse de départ, c’est de dire que notre Cosmos serait fractal ressemblant à une éponge. Dans la revue Pour la Science – n° 423- janvier 2013 il est dit que  »cette éponge fractale peut caractérisée par une dimension comprise entre deux et trois ».[12]

Justement les équations du  »NBBF » proposent très exactement comme dimension fractale pour l’espace-temps quantique la dimension fractale D = 2,726 8 qui ne serait autre que l’  »éponge de Menger ».

Selon certaines expériences il semblerait que le fait que notre Univers serait devenu fractal pourrait-être la cause de l’arrêt de son expansion. Voilà pourquoi la température de l’Univers ainsi que l’arrêt de son expansion est aujourd’hui plus qu’une simple hypothèse de départ.

CONCLUSION

Si aujourd’hui de plus en plus d’indices, basées sur les dernières observations, semblent nous indiquer qu’il existe de nombreux problèmes concernant les hypothèses de base du modèle cosmologique dominant expansionniste il est intéressant de savoir que selon le  »NBBF » la véritable cause à tous ces problèmes ne serait pas le Big-Bang mais de continuer à croire que notre Univers est encore aujourd’hui en expansion…

Les références qui suivent vont dans le sens des prévisions du  »NBBF ». En effet les références qui suivent nous montrent les indices basés sur des observations qui semblent nous indiquer que notre Univers ne serait plus en expansion…

REFERENCES OU LIENS

Voici une liste, non exhaustive d’indices basés sur les dernières observations qui semblent

nous indiquer que notre Univers ne serait plus en expansion…

Il faut savoir que le  »New Big-Bang Fractal » accepte un Big-Bang suivi d’une expansion de l’Univers qui aurait durée 18 milliards d’années.

Par contre ce qu’ il refuse c’est de croire que notre Univers est encore aujourd’hui en expansion…

Les problèmes, de plus en plus nombreux, que l’on observe auraient pour cause principale non le Big-Bang mais cette hypothétique expansion de l’Univers où notre Cosmos n’aurait que seulement 13,7 milliards d’années…

Faire la simple hypothèse d’un Univers aurait un âge bien plus vieux que ces quelques 13,7 milliards d’années et les observations paradoxales semblent trouver des solutions toutes simples car le seul paramètre simplificateur semble être l’unique paramètre qu’est le temps ( rasoir d’Occam). Pour cette hypothèse d’un Univers bien plus vieux que ces quelques 13,7 milliards d’années des chercheurs ( voir la référence [11] ) vont dans ce sens qu’est celui d’une des prévisions du  »NBBF ». Cela est

encouragent pour le reste des prévisions donc certaines ont déjà été confirmées soit par des observations soit par des expériences comme celles du CERN.

Notez que dans la référence [7] les 2 galaxies S2 et A7 ne présentent pas le même enrichissement chimique pourtant elles sont toutes les deux lointaines et dans une même tranche d’Univers ( z ~ 1,9 ) !

Donc au regard de cette constatation je pense, que cette référence est très intéressante car justement elle aussi fait partie des références qui semblent montrer que l’Univers lointain ressemble à notre Univers local et qu’il ne serait plus en expansion…Ces indices semblent donc nous dire qu’il n’y aurait plus globalement une évolution constante dans l’Univers. Donc s’il n’y aurait plus d’évolution la conséquence directe serait d’avancer l’hypothèse que notre Univers ne serait plus en expansion… Cela n’empêche nullement qu’au cours du temps la très grande majorité des astres naissent et se transforment que ce soit ici ou plus loin dans un Univers observable qui serait devenu globalement statique après 18 milliards d’années d’expansion…

Mais alors comment le  »NBBF » explique-t-il les décalages spectraux vers le rouge qui, selon la cosmologie dominante, signifie que notre Univers est en expansion?

Tout d’abord il faut rappeler que l’expansion de l’Univers n’est pas une observation directe!

Si l’observation des décalages spectraux est bien réelle son interprétation est une autre histoire qui n’est pas encore définitive.

Le  »NBBF » repose sur l’hypothèse suivante:

les photons voyageant sur des distances astronomiques se déplacent dans un espace-temps qui serait fractal et «granulaire». Selon la théorie de la gravitation à boucles chaque petit morceau de cet espace-temps aurait la taille de la longueur de Planck et aurait un volume indivisible. Cette propriété engendrerait une énergie finie ce qui empêcherait l’apparition de masses volumiques infinies. Avec cette hypothèse nos photons voyageurs interagiraient avec ces petits  »atomes d’espace-temps » tant au niveau gravitationnel que quantique. Cette interaction qui ferait perdre de l’énergie aux photons se ferait sans diffusion. Cette perte d’énergie de la lumière n’est autre que la théorie de la  »lumière fatiguée » d’ Albert Einstein et autres chercheurs et pas des moindres. Ces  »atomes d’espace-temps » , qui feraient perdre de l’énergie à nos photons venant d’objets très lointains, pourraient être l’énergie sombre qui pourrait être à son tour l »’éther moderne »…

Voici ce que nous lisons de l’interaction qui pourrait exister entre l’espace-temps et les photons:

 »Enfin, on observera peut-être l’analogie pour l’espace-temps du mouvement brownien: si l’espace-temps est bien de nature quantique, les fluctuations à petite échelle devraient en effet perturber la propagation de la lumière. Une onde lumineuse devant s’ajuster à la matrice discrète de l’espace, plus sa longueur d’onde est petite, plus elle sera sensible aux fluctuations, comme les roues d’une poussette sont

sensibles aux chaos de la route que les pneus d’un camion. En conséquence, des photons de longueurs d’onde différentes se propageront à des vitesses différentes. Cumulées sur toute la traversée de l’Univers dans le cas de sources distantes comme des sursauts gamma, ces différences pourraient être significatives. » [14]

Ainsi si les fluctuations à petite échelle mais sur de très grandes distances viendraient à  »perturber la propagation de la lumière » alors la théorie de la  »lumière fatiguée » ne devrait pas être ignorée mais être prise en considération par les physiciens et astrophysiciens et cela d’autant plus qu’ils ont affaire à une sorte d’  »éther moderne » que l’on appelle  »énergie sombre »

Au sujet de la  »granularité » de l’espace-temps voici un autre commentaire plus récent:

 »Ainsi, même s’il n’y a pas consensus sur la question,il n’est pas impossible que la granularité de l’espace prédite par les «boucles» s’accompagne d’une violation du sacro-saint caractère de la vitesse de la lumière. En effet, lorsqu’elle se propage entre les atomes d’un solide, la lumière, si sa longueur d’onde est très grande par rapport à la distance inter-atomique, ne subit pas d’influence du réseau cristallin, comme si elle ne le «voyait» pas. Et sa vitesse est la même que dans le vide. A l’inverse, si sa longueur d’onde est de l’ordre de grandeur de la distance inter-atomique, ou plus petite, elle devient sensible à l’influence du milieu dans lequel elle se propage. Sa vitesse dépend alors de sa longueur d’onde. Il n’est donc pas impossible qu’on photon de très petite longueur d’onde, de l’ordre de la longueur de Planck, puisse voir sa vitesse de propagation dans le vide affectée par la structure quantique de l’espace-temps telle que prédite par la gravité quantique à boucles. » [15]

A la question  »La lumière déviée par le vide? » lire la référence [16] où il est question des travaux de recherche d’une équipe de physiciens.

Ainsi, selon nos connaissances actuelles, il ne semble pas exclu que l’hypothèse en un Univers en expansion pourrait-être fausse, un leurre…

N.B.: dans les références ci-dessous les caractère gras c’est moi qui souligne.

[1]  »LESS J0332: une galaxie de l’univers primordial révèle une composition proche de l’univers local (…) La composition élémentaire de cette galaxie à seulement 1,3 milliards d’années après le Big Bang, s’est révélée être relativement proche de celle de l’univers actuel ».:

http://www.astronomieamateur17.com/article-less-j0332-une-galaxie-de-l-univers-primordial-revele-une-composition-proche-de-l-univers-actuel-107332426.html

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[2]  »Paradoxalement, et en contradiction avec certaines études précédentes, cette galaxie ressemble à ses cousines de notre Univers local  »:

http://irfu.cea.fr/Phocea/Vie_des_labos/Ast/ast.php?t=fait_marquant&id_ast=2828

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[3]  »deux galaxies de l’Univers primordial plus riches en éléments chimiques lourds que le Soleil »:

http://www.eso.org/public/france/news/eso1143/

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[4]  »l’existence précoce de grandes galaxies comparables à la Voie lactée, alors que l’on en a bel et bien observé dès les premiers milliards d’années de vie du cosmos »:

http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/astronomie/d/les-galaxies-grandiraient-aussi-en-recoltant-du-gaz-intergalactique_25731/

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[5], [6]  »La galaxie spirale qui ne devrait pas exister »:

[5] http://keckobservatory.org/news/earliest_spiral_galaxy_surprises_astronomers

[6] http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/astronomie/d/bx442-la-grande-galaxie-spirale-qui-ne-devrait-pas-exister_40258/

Justement il vient de paraître dans la revue La Recherche, N° 471, janvier 2013 un article ( de  »Françoise Combes, spécialiste de la formation et de l’évolution des galaxies à l’Observatoire de Paris ») intitulé:

 »FORMATION La lente évolution des galaxies spirales »

Cet article repose sur une étude de l’équipe de Susan Kassin [13] , de la Nasa, qui a observé avec le télescope Keck  »plus de 540 galaxies situées entre 8 et 2 milliards d’années-lumière de la Terre ».

La lecture de cet article est très intéressante car concernant ces travaux il est dit:

 »Ces travaux montrent que les galaxies spirales acquièrent leur forme définitive en plusieurs milliards d’années. —C’est moi qui souligne.

Or comment expliquer la présence de la galaxie spirale BX442, bien visible, qui se situe à presque 11 milliards d’années c’est-à-dire dans l’Univers primitif. Cette galaxie a stupéfait les chercheurs.

Il me semble, qu’au regard des travaux de Susan Kassin, la galaxie spirale BX442 aurait du apparaître bien plus tard dans l’histoire de l’Univers. Or, comme cela n’est pas le cas, de simples calculs feraient naître cette galaxie spirale AVANT le Big-Bang… d’autant plus que, selon ces travaux l’existence des galaxies spirales n’est possible qu’après une lente évolution…

Comment expliquerions-nous que BX442 serait plus vieille que notre Univers?

Cette situation semble bien paradoxale n’est-ce pas?

Alors comment résoudre cet apparent paradoxe de la manière la plus simple possible?

Il semble que l’explication la plus simple possible, la plus plausible, serait celle d’envisager que notre Univers serait bien plus âgé que les quelques 13,7 milliards d’années seulement… or c’est justement se que prévoit le  »NBBF »…

Certains pourraient dire que cette observation semble unique. Mais en science il faut toujours se montrer prudent devant une observation qui semble ne pas allez dans le même sens. Par exemple si j’étudie 540 plantes dont les feuilles apparaissent avant les fleurs est-il possible de dire que c’est ainsi pour toutes les plantes?

Par exemple que dire du tussilage qui est une plante  »qui a pour particularité de fleurir avant

qu’apparaissent des feuilles. C’est la raison pour laquelle son nom populaire est «fils avant père».—Voir mon tome 2, page 86. Pour les références de ce tome allez s.v.p. dans Google et mettre: biographie de mario cosentino

N’oublions pas que les travaux de S. Kassan et al. Reposent sur une étude statistique ou seul l’avenir nous en dira encore d’avantage sur cet intéressant travail de recherche fondamentale…

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[7]  »Deux galaxies lointaines passées à la loupe »

(  »S2 est très pauvre en éléments lourds alors que A2 présente un niveau d’enrichissement chimique comparable aux galaxies spirales les plus massives de l’Univers proche » ):

http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/astronomie/d/deux-galaxies-lointaines-passees-a-la-loupe_1464/

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[8]  »L’amas de galaxies évolué les plus éloigné. Jeune, mais étonnamment adulte »:

 »Bien que cet amas soit observé lorsque l’Univers avait moins d’un quart de son âge actuel, il ressemble étonnamment aux amas de galaxies que l’on observa actuellement dans l’Univers local. (…) Mais si de nouvelles observations en trouvaient beaucoup, alors cela pourrait signifier que notre compréhension de l’Univers primitif devrait être revue. »  »:

http://www.eso.org/public/france/news/eso1108/

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[9]  »En étudiant le rapport entre ce rayonnement infrarouge moyen et le rayonnement infrarouge lointain, les chercheurs ont constater que ce rapport était proportionnel à la taille des régions de formations d’étoiles. Bien que très lumineuses, les galaxies présentent le même rapport universel que les galaxies proches de type «normal»:

http://www.insu.cnrs.fr/univers/extragalactique-et-univers/naissance-des-etoiles-la-plupart-des-galaxies-n-enfantent-pas-dan

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[10]  »ses membres ressemblent aux jeunes galaxies de l’Univers le plus lointain’‘:

http://www.eso.org/public/france/news/eso1211/

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[11]  »L’équipe a donc avancé les hypothèses que l’univers est bien plus vieux qu’on ne le croit » (…):

http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/019/19494.htm

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[12] David Tong:  »Quantique mais non discret » , Pour la Science, n° 423, janvier 2013, page 39

[13] Susan Kassin et al., ApJ, 758, 106, 2012.

[14] Martin Bojowald:  »L’Univers rebondissant », Pour la Science, n° 375, janvier 2009,page 33.

[15]  »Vers une gravitation quantique », La Recherche, N° 458, décembre 2011,page 42.

[16] http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/physique-1/d/la-lumiere-deviee-par-le-vide_8757/

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Maintenant voici ci-dessous la lettre ouverte que j’ai adressé, le 18 décembre 2012, à l’Union Astronomique Internationale ( UAI ) afin de «prendre date».

 

Secrétariat de l’Union Astronomique International (UAI) le mardi 18 décembre 2012

 

Chère Madame, Cher Monsieur,

 

Ma demande pourrait vous surprendre.

 Est-il possible de conserver l’envoi de ce dossier de témoignage dans vos archives?

Pour quelle raison cette demande?

Grace à mes travaux de recherche que je mène depuis quelques 25 années j’ai abouti à un modèle d’Univers qui porte

le nom de « New Big-Bang Fractal » ( « NBBF ») quantique. Ce modèle d’ Univers à été l’objet :

-des félicitations d’un jury Universitaire composé de scientifiques (année Universitaire 2002-2003) de l’Université Jean-Monnet de Saint-Etienne ( un des membres du jury est connu par l’ UAI puisqu’il s’agît de Monsieur Bernard Milet Astronome à l’Observatoire de Nice ) ,

-de la publication de 2 livres,

-d’articles,

-de passages à la télévision,

- radios,

-conférences dans les villes Universitaire, etc.

En France la majorité des astrophysiciens me connaissent.

Aujourd’hui devant les toutes dernières observations astronomiques je constate qu’un certain nombre de prévisions du « NBBF » quantique sont 

en bonne voie.

Selon ces prévisions ainsi que l’allure que semblent prendre les observations du ciel, en tranche d’Univers de plus en plus proche du Big-Bang, j’ai l’intime conviction qu’un nouveau paradigme est sur le point de changer un des paramètre fondamental sur lequel repose la cosmologie standard. Ce nouveau paramètre qui devrait entraîner un nouveau paradigme devrait bouleverser l’ âge que donne la cosmologie dominante à notre Univers. Comme vous le savez très bien cet âge est fixé à 13,7 milliards d’années. Or bientôt, selon les prévisions du « NBBF », la cosmologie dominante devrait se rendre compte que cet âge se révélerait être très insuffisant pour expliquer la présence de galaxies, ou d’amas de galaxies, bien formées et presque contemporaines au Big-Bang…le problème serait le manque de crédit du temps pour la formations de ces objets…

Comme vous pouvez le constater l’enjeu est de taille. C’est pour cette raison que je demande à UAI  de bien vouloir accepter et conserver mon dossier en témoignage futur car l ‘UAI est une référence internationale.

Au moment approprié je soumettrais un article à une revue à referee . Pour moi ce moment sera approprié lorsqu’il y aurait ce changement de paradigme, reconnu et accepté, par la cosmologie standard. Dans ce contexte les équations du « NBBF », contenu dans mon article, seraient prisent avec encore plus de sérieux du fait que les observations devraient confirmées les prévisions de ce nouveau modèle cosmologique qu’est le « NBBF » quantique.

Merci de votre aimable compréhension.

Dans l’attente d’un prochain contact, veuillez acceptez, Chère Madame, Cher Monsieur, l’assurance de ma considération distinguée.

 

 

Mario Cosentino

Enseignant en Mathématique & Physique

Formation Universitaire en Astronomie & Astrophysique

 

Tél.: ………………………. ; ……………………….

 

 

 

LE SOLEIL ET LA CONSTANTE DE STRUCTURE FINE…

Classé dans : Non classé — mario cosentino @ 13:11

Mario Cosentino

Article mis à jour le 30 juin 2022.

Cosentino

 

Bonjour à tous

Tout d’abord merci de l’intérêt que vous portez à ces informations.
Ici il faut bien distinguer 2 choses: la première qui est:

1- la dynamique ou le mouvement sinusoïdal du Soleil par rapport au plan de notre Galaxie qui est un fait incontestable et la seconde qui est:

2- l’ « alimentation en hydrogène lors des passages de part et d’autre du plan galactique ».

Selon les équations du « New Big-Bang Fractal » (« NBBF ») quantique le diamètre de la photosphère de notre grand luminaire serait fractal car il se logerait très bien dans un des « trous » de l’ « éponge de Menger ».
Comme vous le savez certainement la photosphère est bien plus froide que la couronne solaire qui selon certaines observations a une dimension fractale tous les 11 ans (voir les références de l’article ). Pourquoi cette périodicité?
Une hypothèse de travail serait de proposer que la couronne solaire interagirait très fortement, tous les 11 ans, avec la matière sombre qui entoure le Soleil.
Or, selon les équations du « NBBF » quantique la matière sombre serait identifiée à de l’hélium superfluide à une température de 2,17 K.
Une des propriété d’une « matière » superfluidité est que sa viscosité est nulle ou pratiquement nulle.
L’interaction entre la couronne solaire (très chaude) et l’hélium superfluide (très froid ) ferait que 1 atomes d’hélium superfluide se transforment en 4 atomes d’hydrogène par fission et non par fusion. Ce phénomène de fission, qui transformerait 1 atomes d’hélium superfluide en 4 atomes d’hydrogène, serait l’inverse de ce qui se produit au cœur du Soleil où 4 atomes d’hydrogène se transforment, par fusion, en 1 atome d’hélium et ainsi de suite. Le phénomène de fission semble équilibrer celui de la fusion qui se produit au cœur du Soleil et pourrait avoir un cycle périodique perpétuel…

Qu’est-ce qui pourrait justifier cette « alimentation en hydrogène » par un cycle perpétuel?

Ce cycle perpétuel semble se justifier par la présence de la constante de structure fine α = 1/ 137 = O,007299…

qui se calcul par la relation suivante:

α 7mg / 1 000 mg 0,007

7mg = masse de la matière transformée en énergie sur 1 000 mg de matière

Cette constante de structure fine α pourrait-elle contrôler la fusion thermonucléaire au coeur de notre astre du jour?


Par où pourrait passer cette « alimentation en hydrogène »?
Pour l’instant le champ magnétique du Soleil semble être une piste prometteuse.


J’espère avoir répondu au mieux à un ensemble d’hypothèses nouvelles qui méritent que d’autres astrophysiciens et physiciens puissent les prendre en considération. Tel est un des objectifs de ma LETTRE OUVERTE AUX ASTROPHYSICIENS ET PHYSICIENS POUR « PRENDRE DATE »…

Très respectueusement

PS: ultérieurement je donnerais plus d’informations concernant la longueur d’onde et l’amplitude du mouvement sinusoïdal du Soleil par rapport au plan de notre Galaxie.

 

 

 

AU SUJET DES 180 MILLIARDS D’ANNEES

Classé dans : Non classé — mario cosentino @ 12:22

Mario Cosentino

Enseignant en Mathématique & Physique

Formation Universitaire en Astronomie & Astrophysique

AGE DE L’UNIVERS VIA BX442

Bonjour,

Avant d’aborder la mise en question de l’âge de l’Univers, il me semble (sauf erreur de ma part ) qu’aucune réponse n’a été apportée par le  »personnage » aux problèmes référencés de [2] à [4]…

En ce qui me concerne, j’ai déjà répondu aux problèmes liés aux distances cosmologiques ( les autres décalages spectraux Z  »ANORMAUX » sont en cours de préparation). En attendant revoir le décalage Z  »ANORMAL » du quasar OJ287 [2].

Pour mettre fin à ce type de problèmes, concernant les distances, je vais prendre comme exemple la  »constante de Hubble » car elle est quasiment omniprésente dans les formules de la cosmologie standard expansionniste.

Toute formule pour la détermination d’une distance se heurte à un problème majeur.

Là dessus je laisse la parole au professeur Neils F. Comins,  »université du Maine, aix Etats-Unis. Plusieurs fois diplômé en physique et docteur en astrophysique, ses travaux dans les domaines de la relativité générale, de l’astronomie observationnelle, de la simulation numérique d’évolution des galaxies, sont mondialement reconnus.

Voici, en quelques mots, comment la détermination des distances reste un problème ouvert qui risque de donner tort à certaines interprétations :

 »Une source d’erreur IMPORTANTE est l’effet du gaz intergalactique qui rend les chandelles standard apparemment moins lumineuses. Les astronomes doivent déterminer la quantité de gaz intergalactique et de gaz interstellaire et prendre leurs effets en compte, CE QUI EST SOUVENT DIFFICILE A FAIRE. » — [5] page 431. C’est moi qui souligne.

Au dire de ces paroles je préfère rester, devant ces incertitudes, extrêmement prudent devant toutes données concernant les distances cosmologiques, les luminosités, les températures, les pourcentages sur les constituants de l’Univers que sont la matière baryonique, la matière  »sombre » et l’énergie  »sombre », etc.

Voici une des références concernant le pourcentage :

 »de la densité d’énergie pour toute la matière et tout le rayonnement qui va de 20% à 40% de la valeur nécessaire. » — [5] page 473.

Je rappelle que le  »NBBF » prévoit 5% pour la matière baryonique (Ωmb) , 45% pour la matière  »sombre » (ΩHes= Hélium Superfluide) et 50% pour l’énergie  »sombre » (ΩΛ).

Je ne le répéterais jamais assez : nous ne savons absolument rien sur les interactions qui pourraient exister entre les photons et le vide quantique qui existe entre l’objet émetteur de lumière et les observations de ces objets dans nos laboratoires.

Non seulement nous ne savons rien sur ces interactions mais en plus nous ne savons rien sur l’énergie  »sombre » et la matière  »sombre ».

UN ÂGE DE L’UNIVERS VIA LA GRANDE GALAXIE SPIRALE BX442  »QUI NE DEVRAIT PAS EXISTER »…

Lorsque nous essayons de calculer l’âge d’un des constituants de notre Univers il faut faut que  »3 sortes d’âges » convergent vers une même valeur.

Le premier est – l’  »ÂGE SPECTROSCOPIQUE »

. Cet  »âge » est déterminé par la valeur du décalage spectral Z qui nous donne le temps d’émission  »tE » correspondant au moment où les photons avaient quitté sa surface.

Ce temps  »tE » se calcule ainsi :

tE = tA / ( δ ) ^ 3/2 (1)

avec

tA = Âge actuel selon la cosmologie standard = 13,8 milliards d’années

δ = Z + 1 = λobs / λnorm = 1 / e = le facteur du décalage vers le rouge ou étirement des longueurs d’ondes λ

Z = δ – 1 = décalage spectral vers le rouge

e = 1 / δ = 1 / ( Z + 1 ) = le facteur d’échelle

 

La grande galaxie spirale BX442 a un Z = 2,18

Avec l’équation (1) nous trouvons un temps d’émission tE = 2,4 milliards d’années après le Big-Bang . Ce temps d’émission correspond au moment où, pour la première fois, notre galaxie se serait mise à briller, lumière que nous recevons aujourd’hui 11,4 milliards d’années plus tard.

Il est intéressant pour la suite de nos calculs de traduire tE en % .

Nous avons

tE (I00 / 13,8) 2,4 ~ 20% (2)

Cette durée correspondrait à son  »premier âge spectroscopique ».

Seulement voilà ! Selon un de ses découvreur il y aurait un problème…

Observer une  »GRANDE GALAXIE SPIRALE BX442 » dans cette tranche d’Univers n’est pas habituelle…

Pourquoi ?

Voici les paroles d’un des découvreurs de BX442 :

 

« »LORSQUE NOUS AVONS DISTINGUE BX442 POUR LA PREMIERE FOIS, NOUS AVONS CRU A UNE ILLUSION D’OPTIQUE!, relate David Law. CAR LES SIMULATIONS MONTRENT QUE LES SPIRALES SONT EXTRÊMEMENT RARES A CETTE EPPQUE DE L’UNIVERS : LES BRAS DE CES GALAXIES METTENT NORMALEMENT  »PLUS » DE 5 MILLIARDS D’ANNEES A SE FACONNER… »» [6] page 22.

Le  »2ème âge » serait son  »ÂGE ASTROPHYSIQUE » :  »tA »

Si maintenant au lieu de prendre en considération la valeur de tE = 2,4 milliards d’années nous prenons, au minimum tE = 5 milliards d’années (âge ou durée, raisonnable, pour la formation d’une GRANDE GALAXIE SPIRALE comme BX442) nous obtenons pour le nouvel  »ÂGE ASTROPHYSIQUE » une valeur de :

 »tA(5) » = ( 5 / 20 ) 100 = 25 milliards d’années !!!

Mais comme David Law nous parle de  »PLUS DE 5 MILLIARDS D’ANNEES » nous pouvons raisonnablement lui donner 12 milliards d’années au moment de son temps d’émission  »tE ». N’oublions pas que notre Galaxie spirale aurait un âge de presque 14 milliards d’années…

Donc en prenant pour  »tE » = 12 milliards d’années nous avons un nouvel  »ÂGE ASTROPHYSIQUE »  »tA(12) de :

 »tA(12) » = ( 12 / 20 ) 100 = 60 milliards d’années !!!

Mais compte tenu que les galaxies seraient nées AVANT les TITANESQUES MURAILLES DE GALAXIES cet âge il semble raisonnable de le multiplier par un coefficient 3 ce qui ferait un ÂGE POUR NOTRE UNIVERS DE :

3  »tA (12) » = 3 ( 60 ) = 180 milliards d’années !!!

Tout cela n’est évidemment qu’une estimation qui ne semble pas déraisonnable. Celle-ci devrait nous faire prendre conscience que tous les calculs fondamentaux actuels de la cosmologie standard expansionniste pourraient-être complètement faux !…d’autant plus que pour les physiciens

 »la théorie de la relativité générale est fausse, même si celle-ci est encore utilisée par les astronomes pour décrire la formation des étoiles ou l’  »EVOLUTION DE NOTRE UNIVERS. » Einstein lui-même le soupçonnait : un jour ou l’autre, sa théorie devrait forcément intégrer les principes de la théorie quantique, née quelques années après, et qui n’a, depuis lors, cessé de gagner du terrain. Ce que la théorie pressentait, l’expérience vient superbement de le démontrer : tout est quantique, même la gravitation ! » — [7]. C’est moi qui souligne.

Non seulement la relativité est fausse par rapport à cette expérience, mais en plus notre Univers ne semble pas homogène ( soit on observe de très grands vides , soit on observe de titanesques concentration de galaxies ) mais plutôt quantique et fractal… [8] en conformité avec les prévisions du  »NBBF » quantique !…

Ce qui est intéressant c’est que ce type de calcul a été déjà fait avec la découverte de galaxie 0902+34 par S. Lilly, de l’université d’Hawaii et rapportée dans la référence [9]. Cette galaxie est considérée comme non  »PRIMORDIALE ».

Voici ce que nous lisons au sujet de la galaxie 0902+34 :

 »L’émission Lyman alpha révèle bien des étoiles jeunes mais le reste du spectre indique la présence d’une composante additionnelle d’étoiles massives qui ont déjà évoluée sensiblement : la couleur (très exactement le rapport des flux émis par la galaxie à travers deux filtres différents) est très rouge. Les filtres sont choisis autour des longueurs d’ondes où émettent préférentiellement les étoiles évoluées (âgées) d’une part, et celles qui viennent de se former (séquence principale) d’autre part. En simplifiant, on peut admettre en effet que les étoiles âgées émettent principalement dans le rouge, et les jeunes dans le bleu. Cette couleur extrêmement rouge indique donc qu’une partie des étoiles qui composent la galaxie ne viennent pas d’être formées, mais ont déjà subi une évolution notable. (…) . Avoir trouvé, à un tel temps de regard dans le passé, une galaxie déjà évoluée constitue en soi une surprise importante. Cela a de plus des implications cosmologiques. Dans un modèle cosmologique classique tel que celui proposé par Friedman et Lemaître, un décalage spectral de z = 3,395 correspond à plus de 80 % de l’âge de l’Univers. Mais, vu son âge, la galaxie a dû naître trois milliards d’années plus tôt. Ceci ne peut être plus ancien que l’Univers lui-même. On en déduit une contrainte immédiate : que 20 % de l’âge de l’Univers ne peuvent dépasser trois milliards d’années, autrement dit que l’Univers ne peut être plus jeune que quinze milliards d’années. »

Dans ce commentaire on note que la valeur du décalage spectral est une chose et que la détermination d’un  »ÂGE ASTROPHYSIQUE » à notre Univers en est une autre…

PETITE CONCLUSION

 »La grande galaxie spirale BX442 qui ne devrait pas exister » est une observation ( qui semble en dire plus que tous les SIGMAS) qui devrait nous faire prendre conscience que certaines valeurs fondamentales de la cosmologie dominante expansionniste comme

-un âge à l’Univers de seulement quelques 13,8 milliards d’années pourrait-être une GRAVE, une GRANDE ERREUR…

Attribuer à notre Univers un âge minimal de 180 milliards d’années semble expliquer :

1° pourquoi nous observons les TITANESQUES MURAILLES DE GALAXIES…

2° pourquoi on observe des grands vides

3° pourquoi l’image de Planck et la distribution de la matière semble de plus en plus inhomogène, voir même FRACTALE ?…

4° pourquoi on observe des amas de galaxies et des galaxies poussiéreuses de plus en plus contemporaines du Big-Bang…

5° pourquoi notre Univers lointain ressemble à notre Univers proche…où est, ici, l’évolution du Cosmos ?…

  • que l’expansion de notre Univers pourrait-être une fausse interprétations
  • que les % concernant les constituants de notre Univers pourraient être mal interprétés par des biais insoupçonnés comme la méconnaissance de l’énergie du vide ou que sais-je ???…

L’ hypothèse que notre Univers ne puisse pas subir UNE  »MORT THERMIQUE » reste toujours pertinente…

 

LIENS ET REFERENCES

[1] Un Univers qui ce recycle :

http://www.techno-science.net/?onglet=news&news=11520

La référence [1] répond à une de ses objections concernant l’hypothèse que notre Univers ne puisse jamais subir une  »MORT THERMIQUE »…

Or il ressort de cette référence que dans l’Univers les objets ou la matière peu se recycler…

Dans un Univers qui pourrait avoir un âge minimum de 180 milliards d’années il n’est pas dit que tous ses constituants pourraient vivre aussi longtemps. Nous savons que certaines étoiles ont des durées de vie très différentes les unes des autres. Elles se transforment en gaz donnant d’autres étoiles, etc…

Donc il ne faut pas confondre l’âge de notre Univers (en tant que contenant) avec l’âge de ses constituants, constituants qui pourraient avoir des durées de vie s’inscrivant dans des cycles très différents.

[2] L’énigme du décalage spectral Z  »ANORMAL » du quasar OJ287 :

http://lempel.pagesperso-orange.fr/coincidences_etranges_01.html

[3a] La cosmologie en  »crise » :

http://www.agoravox.fr/actualites/technologies/article/crise-de-la-cosmologie-6296

[3b]  »Remise en cause probable du modèle du big-bang » :

http://www.automatesintelligents.com/labo/2005/jui/bigbang.html

[4]  »LA GRANDE GALAXIE SPIRALE QUI NE DEVRAIT PAS EXISTER » :

http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/astronomie/d/bx442-la-grande-galaxie-spirale-qui-ne-devrait-pas-exister_40258/

[5] Comins :  »A la découverte de l’Univers Introduction à l’astronomie et à l’astrophysique », Groupe De Boeck SA, 2011

[6]  »LA PLUS VIEILLE GALAXIE SPIRALE VIENT D’EMERGER », SCIENCE & VIE, N°1141, Octobre 2012, page 22.

[7] Hervé Poirier :  »Gravitation quantique L’expérience qui contredit définitivement Einstein », SCIENCES & VIE, Mai 2002, page 73.

[8]  »LA DEMONSTRATION DU CARACTERE FRACTAL DE L’UNIVERS » :

http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/059/59324.htm

[9] LA RECHERCHE sur les origines de l’Univers, Éditions du Seuil, La Recherche, Octobre 1991, pages251 à 253.

 

A bientôt ( en attendant je rappelle l’observation du quasar OJ287 avec son décalage Z  »ANORMAL » …qui lui aussi risque de faire sauter l’hypothèse expansionniste…)

 

 

 

 

 

 

UN AGE DE L’UNIVERS D’AU MOINS 180 MILLIARDS D’ANNEES?

Classé dans : Non classé — mario cosentino @ 11:58

Mario Cosentino le 12 mars 2013

UN AGE DE L’UNIVERS BIEN PLUS GRAND QUE SEULEMENT 13,8MILLIARDS D’ANNÉES?

Le modèle cosmologique du « NBBF » quantique stipule qu’après 18 milliards d’années d’expansion notre Univers serait entré dans une phase où des propriétés quantiques fractales auraient « STOPPER » son expansion…

Depuis combien de temps notre Univers serait-il dans cette phase « STATIQUE » ?
Réponse: depuis au MOINS quelques 180 milliards d’années…
Nous savons que cette phase « STATIQUE » n’est pas possible dans un modèle d’Univers uniquement basé sur les équations de la Relativité Générale ( RG ). Mais dans le cadre du modèle d’Univers du « NBBF » cela semble possible car ce modèle cosmologique dit que notre Univers a des propriétés quantiques qui pourraient le maintenir globalement « STATIQUE » pour l’éternité sans avoir à subir une quelconque « MORT THERMIQUE »…

La démonstration de cette durée de 180 milliards d’années sera faite ultérieurement car elle réclame un développement plus long.
En attendant voici des références ou liens qui montrent que des observations remettent en cause l’âge qu’on donne actuellement à l’Univers âge qui n’est que de seulement 13,8milliards d’années…

N.B.: Cette remise en cause de l’âge de notre Univers fait partie des prévisions du modèle cosmologique du « NBBF » quantique.
Cela est très encouragent de voir que des observations vont dans le sens du « NBBF »…
Signalons que d’autres prévisions se sont avérées conformes aux observations astronomiques ou à des expériences de laboratoires ( École Polytechnique, France ). [1]
Ces expériences portent sur les fractales. Ces expériences font q’ une des hypothèses du « NBBF » est plus qu’une hypothèse…on aura l’occasion d’en parler plus tard… en attendant il serait bien de prendre connaissance de la référence [1] .
Merci de votre compréhension. Certains points réclame des développements longs. Voilà pourquoi la publication du  »NBBF » a été faite en 2 tomes . En plus il y a tout le travail qui a été fait depuis la sortie du tome 2 en 2001. Tout cela montre toute la complexité et la richesse des équations de ce modèle cosmologique.

Références et liens

[1] Bernard Sapoval: « UNIVERSALITÉ ET FRACTALES », Préface de Benôit Mandelbrot, Nouvelle Bibliothèque Scientifique, Flammarion, 1997.

[1a]  »L’étoile HD 140283, plus vieille que l’univers observable?:

http://www.futura-sciences.com/fr/ [...] ble_45109/

[1b]

http://arxiv.org/abs/1302.3180

[2]  »L’étoile qui ne devrait pas exister » (SDSS J102915+172927):

http://www.eso.org/public/france/news/eso1132/

[3]  »L’étoile la plus primitive de notre galaxie se joue des théories astrophysiques » (SDSS J102915+172927):

http://www.eso.org/public/france/news/eso1132/

http://www2.cnrs.fr/presse/communique/2262.htm

[4]  »BX442, la grande galaxie spirale qui ne devrait pas exister »:

http://www.futura-sciences.com/fr/ [...] ter_40258/

[5]  »Galaxies naines d’Andromède (3/3): un test pour une nouvelle physique? »:

http://www.futura-sciences.com/fr/ [...] que_44454/

[6]  »Pas de Big Bang »?:

http://www.bulletins-electroniques [...] /19494.htm

[7a] ALMA:
http://www.techno-science.net/?ong [...] news=11468

[7b] Des sursauts  »bien plus tôt que ce que l’on pensait. »:

http://www.eso.org/public/france/news/eso1313/

 

 

UNE EQUIPE INTERNATIONALE D’ASTRONOMES VA DANS LE SENS D’UNE DES PREVISIONS DU « NEW BIG BANG FRACTAL » QUANTIQUE

Classé dans : Non classé — mario cosentino @ 11:40

Mario Cosentino le 20 décembre 2012

 

Enseignant en Mathématiques & Physique

Formation Universitaire en Astronomie & Astrophysique

 

 

UNE EQUIPE INTERNATIONALE D’ASTRONOMES VA DANS LE SENS D’UNE DES PREVISIONS DU  »NEW BIG-BANG FRACTAL » QUANTIQUE

 

 

Dans le contexte actuel des observations on va vers des records des décalages spectraux  »Z »de plus en plus grands. Ces décalages spectraux nous montrent des galaxies, ou des amas de galaxies, de plus en plus proches du Big-Bang,

Je suis persuadé que tous ces records mettent de plus en plus les astrophysiciens dans unesituation de plus en plusinconfortable.

 

UNE LETTRE OUVERTE A L’ UNION ASTRONOMIQUE INTERNATIONALE ( UAI )

 

Le 18 décembre 2012 j’ai adressé une lettre ouverte à l’Union Astronomique Internationale ( UAI ) car nous vivons un contexte astronomique où l’enjeu est de taille. Dans cette lettre j’explique que cette situation de plus en plus inconfortable cela fait maintenant quelques 20 ans que je l’attends!

 

Aujourd’hui de plus en plus d’indices semblent nous montrer que la cosmologie dominante devrait, prochainement, être confrontée à des observations paradoxales qui concerneraient les bases les plus fondamentales de tout l’édifice de la cosmologie standard. Ces observations paradoxales mettrait les astrophysiciens devant un véritable problème d’interprétation. En quoi consisterait, exactement, ce problème d’interprétations?

Ce problème qui devrait mettre la cosmologie dominante devant un énorme paradoxe concernerait l’âge de notre Univers. Pour résoudre ce paradoxe de l’ « âge de notre Univers »tout porterait à croire qu’il faudrait opter pour un changement de paradigme. Or ce changement de paradigme consisterait à opterpour l’ hypothèse «que l’univers est bien plusvieux qu’on le croit»…

 

Concernant ce changement de paradigme que disent les observations?

 

Sur la base de certaines observations une équipe internationale d’astronomes, dirigée par le DrPaul Francis de l’Australian National University, opte pour ce changement de paradigme. En effet nous lisons danslaréférence [1] les paroles suivantes:

 

 »L’équipe a donc avancé les hypothèses que l’univers est bien plus vieux qu’on le croit (…) ». Voir lasource: The Camberra Times du 08/01/2004 – 4 / ASTRO/IM .[1]

 

AINSI CETTEEQUIPE INTERNATIONALE D’ASTRONOMES VA DANS LE SENS DE L’UNE DES PREVISIONS DU  »NEW BIG-BANG FRACTAL » (  »NBBF » ) QUANTIQUE!

 

Voici plus de précisions concernant cette prévision du  »NBBF » et en quelle année elle a été publiée?

 

Cette prévision concerne un des postulats ou hypothèse du  »NBBF ». Selon les équations ainsi que la cohérence interne du  »NBBF » cette prévision nous dit que l’age de notre Univers doit-être supérieur à 13,7 milliards d’années.

 

Cette prévision du « NBBF » remonte en 1993 .

Voici ce que nous lisons dans mon tome 1 à la page 76 sur cette prévision N° 4:

 

 »dans le cadre d’un univers qui n’est plus en expansion, on pourrait observer des corps célestes ayant un âge plus important que ne l’indiquerait leur décalage spectral, voire un âge plus ancien que le cosmos lui-même. » — C’est moi qui souligne.

 

Voici ce que nous lisons également dans mon tome 2 publié en 2001:

 

 »La durée de cette expansion de l’Univers fut de quelque 18 milliards d’années, avant de connaître une phase statique: l’état actuel de notre Univers depuis au moins 60 milliards d’années. Lorsqu’on fait la somme de ces deux durées :

 

[ 18 ( expansion ) + ( 60 ( statique ) ont obtient 78 milliards d’années…

 

Nous ne sommes pas très loin des 100 milliards d’années, au moins, avancés par l’astropphysicien Fred Hoyle et son collègue Geoffrey Burbirge 44 .  »

 

La référence complète de mon tome 1 ainsi que le tome 2 vous pouvez les obtenir en allant dans Google et mettre:

 

biographie de mario cosentino

 

Ce qui est encouragent c’est que la date de la publication du tome 1 (1993 )a devancécelle annoncée, en 2004, par l’ équipe internationale d’astronomes de 11 ans!

 

Ainsi en optant pour un Univers plus âgé que 13,7 milliards d’annéestoutes les observations concernant les records des « z », de plus en plus proches du Big-Bang, semblent bien plus cohérents. C’est le prix qu’il faudrait payer pour obtenir cette cohérence.

 

 

Respectueusement

 

Mario Cosentino

 

 

Lien concernant la référence [1] :

 

 

http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/019/19494.htm

 

[44] «Fred Hoyle de désarme pas», Ciel et espace, mars 1999.

 

 

UN PLASMA REGULIER 31 juillet, 2013

Classé dans : Non classé — mario cosentino @ 14:12

 

http://www.ago.ulg.ac.be/PeM/News/index_f.php#N2013061202

 

Plasma (12/06/2013)

Le plasma est la forme de matière la plus répandue dans l’Univers. Il semblerait qu’un paramètre, lié à la température, la densité et le champ magnétique, reste constant quel que soit le plasma impliqué : la cause physique de ce phénomène est inconnue.

http://www.nature.com/news/space-plasmas-share-a-secret-1.13159

 

 

 

UN QUASAR DANS NOTRE GALAXIE ?

Classé dans : Non classé — mario cosentino @ 13:48

UN QUASAR DANS NOTRE GALAXIE ? invis

UN QUASAR DANS NOTRE GALAXIE?…


J’ai le plaisir de porter à votre attention des informations concernant

le quasar OJ 287.un

Ce quasar est très problématique pour la cosmologie dominante car, selon l’interprétation classique du décalage spectral z, ce quasar est situé  à une distance cosmologique…

Or l’onde de Kotov, le Soleil, Jupiter et le quasar OJ 287 semblent être liés par une interaction forte dont le principe ou la cause physique reste à élucider…

En effet comment expliquer les nombreuses coïncidences ou corrélations qui existent entre l’onde de Kotov, le Soleil, Jupiter et le quasar OJ 287

tout semble être en phase « AVEC » notre système solaire?…

N.B. : Ce quasar serait-il plus proche que prévu voir se situer à l’intérieur de notre Galaxie?

Dans cette hypothèse nous comprenons que les implications pourraient-être très graves pour la cosmologie dominante car si son décalage spectral z ne correspondrait pas à sa distance cosmologique alors l’interprétation classique des décalages spectraux serait douteuse et, par voie de conséquence, c’est tout l’édifice du modèle d’Univers standard qui serait également douteux!

Parmi les corrélations on trouve la période du cycle solaire de quelques 11 ans qui est presque aussi la période de révolution de la planète Jupiter objet le plus massif des planètes du système solaire.

Concernant ce cycle de 11 ans il est intéressant de noter cette observation :

*Sandra Chapman et son équipe de chercheurs de l’Université of Warwick’s Centre for Fusion, Space and astrophysics ont découvert «que le vent solaire se met à avoir une structure fractale à chaque maximum d’activité du soleil tous les 11 ans. (…). Sandra Chapman et ses collègues de l’Université de Warwick viennent de mettre en évidence, dans les variations temporelles de la densité d’énergie magnétique dans le vent solaire, des lois qui sont une signature caractéristique d’une structure fractale. Celle-ci est particulièrement nette lorsque le Soleil présente un pic d’activité tous les 11 ans et que le nombre de taches solaires et d’éruptions chromosphériques à sa surface est à son maximum. La couronne solaire est alors plutôt agitée et turbulente et le champ magnétique de notre étoile devient plus fort et plus complexe dans l’emmêlement de ses lignes de champ. A l’inverse, lorsque l’activité est à son minimum et que le champ magnétique est plus faible et plus stable, la signature disparaît.» Voir Futura-Sciences: allez dansGoogleet mettre: Des fractales dans le vent solaire!

Cette observation conforte une de mes hypothèses de mes travaux de recherche concernant un modèle d’Univers quantique qui aurait comme dimension fractale celle de l’ « Eponge de Menger » .—Voir mon blog Google : mario cosentino

Affaire à suivre…

 Voici les références du site où j’ai apporté ma contribution

concernant le quasar OJ 287. 

Pour plus de renseignement sur ce quasar allez S.V.P. dans Google et mettre:

Le Soleil, Jupiter et OJ 287.

Cette page correspond au site de Bernard Lempel.

Bien cordialement

Mario Cosentino 

PS: 2 pièces jointes. Votre avis m’intéresse et sincèrement je ne cherche pas du tout à impressionner ni vous mettre dans une situation inconfortable.

La science progresse par les dialogues respectueux où on utilise la critique au sens

 noble du terme.

Merci de votre attention!

 

 

 

LE HALO DE GAZ CHAUD ENTOURANT NOTRE GALAXIE ET LE  »NEW BIG-BANG FRACTAL » QUANTIQUE 3 décembre, 2012

Classé dans : Non classé — mario cosentino @ 3:20

LE HALO DE GAZ CHAUD ENTOURANT NOTRE GALAXIE ET LE  »NEW BIG-BANG FRACTAL » QUANTIQUE

 

Voici 3 articles à lire très attentivement:

 

http://chandra.harvard.edu/press/12_releases/press_092412.html

 

http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/astronomie/d/la-matiere-noire-chauffe-t-elle-la-couronne-solaire_19608/

 

http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/astronomie/d/de-la-matiere-noire-dans-le-soleil_24594/

 

 

Résumé

 

A la lecture du premier article il semblerait que, pour certains,  la matière sombre n’existe pas.

Par contre en lisant les deux articles suivantes il semblerait que tout n’est pas aussi définitif.

En tout cas selon le modèle cosmologique du « New Big-Bang Fractal » (  »NBBF » )  la matière sombre, qui serait de l’ hélium superfluide à 2,18 K, n’a pas dit son « dernier mot »… bien au contraire!

La très haute température du halo entourant notre Galaxie semble avoir une explication qui serait liée à son interaction avec la matière sombre .

 

L’hypothèse de la transformation, partielle, de la matière sombre  en photons énergétiques semblerait être la cause de la très haute température du halo entourant notre Galaxie

 

Dans le deuxième article il est expliqué que la matière sombre en se transformant, en partie, en photons ( idée de Zioutas et al. ) elle pourrait participer à la très haute température de la couronne solaire K.

 

Voyons cela de plus près car cela pourrait concerner le halo entourant notre Galaxie ou les halos d’autres galaxies ou encore des halos entourant des amas de galaxies à travers le modèle du  »NBBF »…

 

Cet hélium superfluide à 2,18 K serait majoritairement présent à l’intérieur des gigantesques bulles entourées par les galaxies. Ces bulles nous semblent  globalement vides de toute matière. Cet hélium superfluide aurait, à l’intérieur de ces bulles, des mouvements de convection ( comme à l’intérieur du Soleil ).

Par le mouvement de convection montant une partie de cet hélium superfluide en touchant la périphérie ( là où se trouvent les galaxies et les quasars chauds ) entourant  les bulles,  s’échaufferait  et se transformerait partiellement en photons visibles grâce à leur très haute température . Ces photons énergétiques, car ils posséderaient une grande énergie cinétique, feraient en s’approchant du Soleil augmenter  la température de la couronne solaire K. Tout ce qui est dit concernant la couronne solaire K concerne également le halo entourant notre Galaxie ainsi que les autres halos de galaxies ou d’amas de galaxies ( concernant le halo entourant notre Galaxie voir le premier article sur l’observation de Chandra de la Nasa ).

 

 

 

Au sujet des quasars chauds et l’observation de l’hélium notons ce qui suit:

 

au sujet de l’hélium superfluide une observation faite par Hubble semble indiquer que, près des sources très chaudes comme les quasars, l’hélium devient visible. Par contre il reste invisible dans les espaces inter-galactiques extrêmement froids, ou à l’intérieur des gigantesques bulles, où il se trouverait à l’état superfluide avec sa très basse température de 2,18 K. Selon le  »NBBF » le rôle de la température de l’hélium superfluide serait de stabilise, ou de maintenir, à un niveau constant la température de notre univers à 2,726 K. Pour plus d’informations concernant la stabilité de la température de l’hélium superfluide à 2,18 K voir, dans un ouvrage de physique, le graphique de sa courbe lamda ( λ ) . Cette courbe λ fait la relation entre sa pression et sa température . Avec cette propriété stabilisatrice l’hélium superfluide pourrait écarter l’hypothèse d’une mort thermique entrainant une disparition de notre Univers par une  »grillade » ou bien par une  »congélation »…

 

La masse des  »baryons noirs »

 

Dans le troisième article il est question de la masse de la matière noire ou  »baryons noirs » . Les calculs de Subir Sarkar de l’Université d’Oxford et de son collègue Mads Frandsen montrent que la masse des  »baryons noirs » serait de 5 fois la masse du proton.

Ce qui est remarquable c’est que cette valeur est très proche de celle fournie par les calculs des équations du modèle cosmologique du  »NBBF » quantique en 2001. Quelle est donc cette valeur?

Le  »NBBF » nous donne la valeur de 4 fois la masse du proton!( voir mon tome 2, 2001, page 184 ) . Cette dernière valeur correspond aux constituants de base de la matière sombre qui serait, selon le  »NBBF », de l’hélium superfluide à la très basse température de 2,18 K. Les nombreuses propriétés de l’hélium superfluide à cette très basse température en font un candidat très sérieux à l’énigmatique matière sombre.

 

 

Conclusion

 

A la lecture de ces 3 articles il ne semble pas exclu que la très haute température du halo entourant notre Galaxie serait due à une transformation, partielle, de la matière sombre en photons très énergétiques. Nous avons vu, également, que bien des pistes restent encore à explorer.

J’encourage les physiciens ainsi que les astrophysiciens à explorer la piste de l’hélium superfluide à 2,18 K comme candidat, très sérieux, à la très énigmatique matière sombre.

Ne courons pas le risque où nous pourrions passer à coté de quelque chose que l’on a  »sous le nez » en abondance au CERN car l’hélium superfluide fait partie intégrante de l’accélérateur de particule…

 

 

POURQUOI LE SOLEIL EST-IL  »UNE SPHERE QUASI PARFAITE » ?

Classé dans : Non classé — mario cosentino @ 3:08

Mario Cosentino le jeudi 29 Novembre 2012
POURQUOI LE SOLEIL EST-IL  »UNE SPHERE QUASI PARFAITE » ?
INTRODUCTION
Le Soleil est très loin de nous avoir livré tous ses secrets. Nous savons que le Soleil est une boule de
plasma tournant sur lui-même. Cette rotation exerce à la surface de notre étoile une force centrifuge
qui devrait, comme la Terre, aplatir légèrement les pôles solaires. Or les dernières mensurations
nous montre une forme du soleil qui s’approche d’une  »sphère quasi parfaite » avec une différence,
entre son rayon polaire et équatorial, de 0, 00075 % ! — Voir Sciences & Vie Novembre 2012,
page 22.
Pourquoi notre Soleil présente-t-il une telle sphéricité  »quasi parfaite » ?
LE SOLEIL SERAIT UN OBJET FRACTAL
Une explication, qui semble tout à fait plausible, serait de dire que la forme  »sphérique quasi
parfaite » de notre soleil aurait pour cause la propriété fractale de l’espace qu’il occupe dans un des
 »trou » de l’objet fractal qu’est l’  »éponge de Menger » (voir à quoi ressemble cet objet fractal ) .
Nous savons que la dimension fractale D de l’  »éponge de Menger » est de
D = 2, 726 8… ( je rappelle que cette valeur est extrêmement proche de la valeur de la
température T de notre Univers qui est de T = 2, 726 K! ).
Un calcul simple basé sur un modèle d’espace-temps fractal quantique de dimension D, sans
paramètres libres, nous donne les mensurations du  »trou fractal » dans lequel serait logé le diamètre
de notre Soleil. Ce  »trou fractal » serait un des nombreux  »trous » de cette gigantesque  »éponge
fractale » invisible caractérisant notre espace-temps. Cet espace-temps aurait donc les propriétés
fractales d’une  »éponge de Menger cosmique »! Le plus petit des  »trous » de cette titanesque  »éponge
fractale’ , confèrent à l’espace temps sa  »fractalité », aurait une dimension très légèrement supérieur
à la longueur de Planck.
En réalité ce calcul nous montre que ce  »trou fractal » correspond à un  » cube quasi parfait  » ayant
comme côté le diamètre du Soleil ( voir dans ce site:  »LES OBJETS QUI SE  »LOGENT » DANS
L’EPONGE DE MENGER » ) [1] !
LE SOLEIL POURRAIT-IL FAIRE DU PRINTEMPS UN ETERNEL RETOUR?
Le Soleil serait donc comme enfermé dans une  »cage cubique fractale » . Cette  »cage cubique
fractale » le confinerait, l’obligerait à avoir des mensurations très stables. Les propriétés de l’
 »espace-temps fractal » empêcheraient le plasma solaire de se dilaté au delà du confinement
imposé par les mensurations fractales de la  »cage cubique fractale » de l’  »éponge de Menger ».
Suite à cela je soulève une question très pertinente:
si notre Soleil aurait des mensurations fractales pourrait-il vivre bien plus longtemps que la durée
hypothétique classique qu’on lui donne?
Les dernières observations nous montrent que des étoiles âgées peuvent présenter des
caractéristiques appartenant à des étoiles jeunes!… — A ce sujet voir les références [2] et [3].

 

 

BX442: LA GRANDE GALAXIE SPIRALE ET LES PREVISIONS DU «NBBF 23 août, 2012

Classé dans : Non classé — mario cosentino @ 13:54

Mario Cosentino

 

Enseignant en Mathématiques & Physique

Formation Universitaire en Astronomie & Astrophysique

 

NB: Tous mes travaux de recherche ont eu les félicitations d’un jury ( année universitaire 2002-2003) composé de scientifiques à l’Université Jean-Monnet de Saint-Etienne. » (Google: Biographie Mario Cosentino )

Ce jury de scientifiques était composé :

1- d’un Astronome
2- d’un Physicien
3- d’un Géologue

 

Mes centaines d’équations sont accessibles au public et une synthèse est prévue afin de la soumettre à une revue à referee. Mais étant donné que les conclusions ou les prévisions, des équations du « NBBF », sont trop RÉVOLUTIONNAIRES j’ai fais le choix d’attendre encore un peu plus. Pourquoi? Parce que actuellement d’autres observations fondamentales sont en bonnes voies et celle-ci devraient consolider encore d’avantage les hypothèses du « NBBF ». Comme avec le télescope spatial Hubble, fin 1994, le paradoxe de l’observation des « étoiles plus vieilles que l’Univers » était prévu dans mon tome 1 en 1993! Maintenant j’attends les données de Planck, ainsi que d’autres données. D’autres  prévisions importantes sont (déjà) écrites à l’avance « noir sur blanc ».

 

Je tiens à souligner que l’ensemble des hypothèses les plus importantes du «NBBF» ont été reprises dans le livre «Un autre cosmos?» paru  aux Éditions Vuibert, en 2012, sous la direction de Thomas Lepeltier (chercheur en cosmologie moderne, Université d’Oxford ) et Jean-Marc Bonnet-Bidaud ( astrophysicien  au CEA). Que mes ouvrages ont devancé le livre «Un autre cosmos?» est très encouragent pour le «NBBF»!

Aujourd’hui je continue à « tirer la sonnette d’alarme » afin d’attirer l’attention sur la fragilité et l’interprétation des fondements de la cosmologie dominante.

 

Enfin aujourd’hui je ne suis plus seul pour proposer un « Un autre cosmos ». Nous sommes un groupe de travail unissant différentes disciplines scientifiques ( Relativité Générale, Mécanique quantique, Mécanique des fluides, thermodynamique, espace-temps fractal, etc.). Toutes personnes pensant apporter des hypothèses scientifiques ( réfutables dans le sens de Popper) qui pourrait faire avancer notre travail de recherche est la bienvenue.

 

BX442: LA GRANDE GALAXIE SPIRALE ET LES PREVISIONS DU «NBBF»

 

 

Grâce aux prévisions des nombreuses équations du modèle d’Univers du «New Bug-Bang Fractal» , à ma connaissance, il me semble être le seul à avoir prévu ce type d’observation.  Dans ce cas là ce type d’observation  s’inscrit, légitimement, dans la liste de mes primautés théoriques. Pourquoi?

Cela fait maintenant presque 20 ans que grâce à des travaux de recherche, qui ont abouti à un modèle d’Univers qui s’appelle le «New Big-Bang Fractal» ( «NBBF») , je «tire le signal d’alarme» en  mettant en garde contre les insuffisances graves du modèle d’Univers standard.

Contrairement au modèle cosmologique standard les centaines d’équations du modèle d’Univers du «NBBF» ne comportent aucun paramètre libre. Uniquement les constantes fondamentales de la physique en un tout d’une logique et d’une cohérence interne conforme aux lois de la physique la plus moderne. Le modèle du «NBBF» est scientifique car il est «réfutable» au sens de Popper.
Par ces nombreuses prévisions confirmées elle est non seulement en bonne voie mais en plus elle nous propose des pistes de recherche qui semblent prometteuses car non encore complètement exploitées.
En 2012 la théorie du «NBBF» n’est plus du tout «embryonnaire»: la preuve c’est qu’elle est depuis quelques années confirmée par un certain nombre d’expériences ou d’observations. D’ailleurs, par exemple, comment une théorie «embryonnaire» pourrait-elle prédire quelques 17 années à l’avance la masse du «boson de Higgs» et quelques 10 années à l’avance que le Big-Bang est liquide et non gazeux (expériences au CERN)?

Revenons à la galaxies spirale BX442.

Selon les conclusions des nombreuses équations du «NBBF»  viendra un jour où le modèle cosmologique standard devra se confronter à ce type d’observations où on observera des «corps célestes» ayant un âge supérieur à celui de l’Univers!

En effet ce type de prévision remonte au 1er trimestre 1993 et a été confirmée fin 1994 par l’observation du télescope spatial Hubble. Cette prévision du «NBBF» nous la trouvons écrite dans mon tome 1 où nous lisons très textuellement à la page 76 les paroles suivantes:

 

«dans le cadre d’un univers qui n’est plus en expansion, on pourrait observer des corps célestes ayant un âge plus important que ne l’indiquerait leur décalage spectral, voire un âge plus ancien que le cosmos lui-même». (voir mon tome 1:  «Origine et destin de notre Univers par une nouvelle Cosmologie De l’atome jusqu’aux confins du cosmos», Conversation avec Pierre Bourge, Éditions  Bonnefoy- Imprimeur-Éditeur, 1er trimestre 1993. ISBN: 2-906630-07-1   . Localisation: INIST-L 22828. 354000035419100000

 

Dans nom tome 2 cet Univers paradoxale où les «corps célestes» semblent plus vieux que le cosmos je l’ai appelé un «Univers tussilage»!

Il est écrit:

«Le tussilage est une plante qui a pour particularité de fleurir avant qu’apparaissent des feuilles. C’est la raison pour laquelle son nom populaire est «fils avant père»» . (voir mon tome 2: «Le New Big-Bang   synthèse des modèles cosmologiques actuels», Prologue de Bernard Milet, astronome à l’Observatoire de Nice, Editions Apolline, 2001, page 86, ISBN: 2- 84556-023-0. Localisation: INIST – L28064. 354000096815380000, Copyright: © 2002 INIST-CNRS. All rights reserved.

 

 

L’observation de la grande galaxie spirale BX442 pose un véritable défi au modèle cosmologique dominant. Au dire de ce qui est dit de cette galaxie spirale on l’observe à une époque où notre Univers n’était âgé que de 3 milliards d’années seulement ( z = 2,18 ). Vu qu’elle est âgée de 11 milliards d’années la naissance de BX442 se situe à 8 milliards d’années AVANT le Big-Bang?!…

Pour moi cet âge de 11 milliards d’années me paraît plus que plausible car étant une galaxie spirale semblable à la notre Galaxie qui affiche quelques 13 milliards d’années.

Comment les cosmologistes vont-ils résoudre ce problème?

Soulignons que ce type d’observation n’est pas unique. Une autre galaxie spirale à z = 1 semble elle aussi être née quelques 8 milliards d’années AVANT le Big-Bang ?!…

Pour appréciée cette magnifique galaxie spirale la seule photographie que je connais elle se trouve dans la revue de Ciel & espace (voir plus bas).

 

Selon le «NBBF» ce type d’observations, qui ne sont pas prévisibles par le modèle d’Univers dit de «concordance», font partie des indices que notre Univers n’est plus en expansion! J’utilise l’affirmatif car s’est une conclusion ou prévision des équations du «NBBF».

 

En dehors du modèle cosmologique du «NBBF»  qu’est-ce qui pourrait nous faire dire que notre Univers serait devenu, après 18 milliards d’années d’expansion quantifiée, globalement STATIQUE ( à ne pas confondre avec STATIONNAIRE ) ?

 

Le fait que de plus en plus d’observations nous montrent que des galaxies lointaines ressemblent à des galaxies locales.

Autrement dit  l’Univers «jeune» présente, de plus en plus, les même caractéristiques que l’Univers proche mais plus âgé !?…

 

Ces observations semblent  indiquer que notre Univers n’est plus en évolution globale et qu’il a plus que quelques 13,7 milliards d’années.

Nous allons voir une liste, non exhaustive d’observations ou d’indices, qui devrait nous faire prendre conscience qu’il ne semble pas exclu que notre Univers ne serait plus en évolution globale mais qu’il serait en phase  STATIQUE… Nous savons que les nombreuses observations mettent les cosmologistes dans une situation qui devient de plus en plus inconfortable. Nous apprenons qu’un nouveau paradigme ou révolution est depuis peu en marche. Pour moi c’est surtout depuis fin 1994, par les observations du télescope spatial Hubble, que les observations sapent les fondements même du modèle cosmologique dominant qui, de ce fait, se lézarde de plus en plus à vu d’œil!
C’est donc l’âge de l’Univers ainsi que l’interprétation du décalage spectral z ( ou l’expansion de notre Univers ) qui deviennent de plus en plus douteux. En remettant en cause ces 2 paramètres fondamentaux c’est en grande partie tout l’édifice qui risque de voler en éclat…

Voici donc notre liste d’observations où les commentaires ne sont pas les miens. Cette petite liste je vous la livre dans le seul but que nous prenions conscience que la cosmologie standard est loin d’être, comme le pensent certains, « un long fleuve tranquille »…

(Pour lire les articles allez s.v.p. dans Google et mettre le titre en caractère gras. Pour vous facilité les recherches la plupart des articles sont publiés dans Futura Sciences.

1- L’observation de la très grande galaxies spirale BX442 n’est pas unique. Une autre belle galaxie spirale, ressemblant à la notre, à z = 1 ( quelques 5 milliards d’années seulement après le Big-Bang) pose le même problème que la grande galaxie spirale BX442. Si notre belle galaxie spirale serait âgée de quelques 13 milliards d’années (de l’ordre du même âge que la Voie Lactée puisqu’elles se ressemblent) alors une valeur de z= 1 ferait naître celle-ci quelques 8 milliards d’années AVANT le Big-Bang… (pour voir cette belle galaxie spirale ressemblant à notre Galaxie allez, s.v.p. dans Ciel & Espace de décembre 1998, page 45 ).

2- «Deux galaxies lointaines passées à la loupe»
Ces 2 galaxies sont «S2 et A2» avec un z~1.9 dont A2 «présente un niveau d’enrichissement chimique comparable aux galaxies spirales les plus massives de l’Univers proche»

3- «Au début des amas de galaxies»
Le proto-amas TNJ1338-11942 . «Il existait 1,5 milliards d’années après le Big Bang» .

4- «Les théories confrontées à la découverte de trous noirs supermassifs distants»
«* Le quasar SDSSp J1306 «est vu tel qu’il était un milliard d’années après le Big bang. Son spectre de rayon X est semblable à celui des quasars proches »

5- «Hubble aurait débusqué les plus lointaines galaxies»
«Un groupe de galaxies observé avec la toute nouvelle caméra Wide Field Camera 3 semble se trouver très loin, à 13,1 milliards d’années-lumière, un record de distance. En bonus, le taux de formation stellaire y apparaît paradoxal. (…). Or, les images fournies par la WFC3 ne concordent pas avec cette théorie» . Ce groupe de galaxies ont un taux de formation stellaire de 0,0025 masse solaire par an! Qui en comparaison avec l’un des plus lointain quasar connu, le J1148+5251 fabrique mille soleils par an!( lire l’article: «La galaxie qui fabrique mille soleils par an » )

7- «L’héritage de Spitzer»  (lire POUR LA SCIENCE-n°388-février 2010, page 35)
Voici un commentaire d’un spécialiste Michael Werner qui a «les compétences pour débattre»:
«Des résultats intriguants, mais controversés, suggèrent que des galaxies très massives pourraient exister à des décalages vers le rouge supérieur à 6. Ce résultat, s’il était confirmé, remettrait profondément en cause le cadre théorique de la formation des galaxies mis en place cette dernière décennie.»

8- «DE TRES JEUNES GALAXIES GEANTES»  (publié dans la revue «Astrophysical Journal Letters» du 20 mai 2010, vol. 715, L6
Il s’agît de l’observation d’une galaxie elliptique géante ayant un z = 1,82.
«Paradoxalement, et en contradiction avec certaines études précédentes, cette galaxie ressemble à ses cousines de notre Univers local.»

9- «La galaxie la plus lointaine et la plus ancienne observée par le VLT»
Avec la galaxie UDFy-38135539 le record de z= 6 est largement dépassé car elle affiche un z= 8,6*! … avec tous les problèmes graves habituels…

10- «L’amas de galaxies évolué le plus éloigné. Jeune, mais étonnamment adulte»  ( Communiqué de presse scientifique de l’European Southern Observatory du 09 mars 2011)
Non seulement nous observons des galaxies massives est bien constituées de plus en plus proches du Bing-Bang mais maintenant il semble que c’est le tour des amas de galaxies. Cet amas est vu avec un z = 2,07 se le situe qu’a environ 3 milliards d’années seulement après le Big-Bang!
Voici le commentaire de l’auteur principal de cette étude Raphael Gobat (CEA,Pa ris):

«La chose surprenante est que, lorsqu’on le regarde attentivement, cet amas de galaxies ne semble pas jeune- de nombreuses galaxies se sont «assagies» et ne ressemblent pas aux galaxies à formation d’étoiles que l’on observe habituellement dans l’Univers primitif.
L’article poursuit:
«De tels amas sont supposés être très rares selon la théorie actuelle et nous avons eu beaucoup de chance d’en repérer un. Mais si de nouvelles observations en trouvaient beaucoup plus, alors cela pourrait signifier que notre compréhension de l’Univers primitif devrait être revue».

11- Le problème de «La plus vieille étoile connue de l’Univers» SDSSJ102915+172927.

«Cet astre extraordinairement vieux, aux caractéristiques inattendues, va obliger les théoriciens à revoir … leurs théories sur la genèse des premières étoiles. Si peu de chercheurs considèrent que SDSS102915+172927 va bouleverser les scénarios cosmologiques actuels, il est néanmoins certain que la vénérable étoile… née plus de huit milliards d’années avant notre système solaire… va être l’objet dès que la constellation du Lion réapparaîtra dans le ciel, à la fin de l’hiver 2012, de toute l’attention des astronomes…» Serge Brunier

12- «Des Observations de Sursauts Gamma effectués à l’aide du VLT révèlent la surprenante composition chimique de galaxies primitives» ( pour plus d’informations voir l’article intitulé
«Super-solar Metal Abundances in Two Galaxies at z = 3,57 revealed by the GRB 090323 Afterglow Spectrum» publié dans les Monthly Notices of the Royal Astronomical Society.

«Ces galaxies sont constituées d’éléments chimiques lourds en quantités beaucoup plus importantes que toute autre galaxie de l’Univers primordial. Nous ne nous attendions pas à ce que l’Univers, encore jeune, soit si adulte, si évolué chimiquement.» (…). Les astronomes peuvent d’ailleurs utiliser l’enrichissement chimique des galaxies pour déterminer leur âge. Mais les nouvelles observations indiquent que quelques galaxies étaient déjà très riches en éléments lourds, moins de deux milliards d’années après le Big Bang. Ce résultat était impensable, récemment encore.»

13- «Naissance des étoiles: la plupart des galaxies n’enfantent pas dans la douleur»  (voir la publication:
«GOODS -Herschel: an infrared main sequence for star-forming galaxies» 2011, Astronomy & Astrophysics, 533, A119

Cet article met en évidence qu’une équipe «a montré que les galaxies ayant un taux de formation d’étoiles très élevé n’avaient pas autant subi de collision». (…). Autre phénomène observé:
«bien que très lumineuses, les galaxies présentent le même rapport universel que les galaxies proches de type «normal» elles n’ont donc pas subi de destruction de ces particules plus fragiles sous l’effet d’une collision».
Pour moi l’observation de ce «rapport universel» serait un indice en faveur d’un Univers qui ne serait plus expansion depuis au moins quelques 80 milliards d’années…

15- Pourquoi des spécialistes comme par exemple Jean-Pierre Luminet et Michel Cassé utilisent le mot «semble» au sujet d’une accélération de l’expansion de l’Univers au cours du temps?

Pour ne pas trahir leur pensée voici leurs commentaires:
Jean-Pierre Luminet:

«L’ Univers est en expansion, nous indiquent les observations des galaxies lointaines et de leurs amas. En outre, cette expansion semble accélérer au cours du temps, de sorte qu’en l’état actuel du modèle de Big Bang dit «*standard*» l’expansion ne connaîtra pas de fin. L’ Univers serait donc éternel.» ( Les dossiers de La Recherche, N°50, HORS-SERIE, Août 2012, page 16. —C’est moi qui souligne.

Michel Cassé:

«Pour conclure, l’expansion de l’Univers semble s’accélérer au détriment de la connaissance cosmologique: les observations s’accumulent à grande vitesse, mais leur interprétations reste parfois obscure. On a l’impression de comprendre de moins de choses aujourd’hui qu’il y a vingt ans. L’astronome rompu à la démonstration de l’illusion céleste, de la mythologie et de l’ astrologie prône calme et discernement. Mais les chevaux fous de la cosmologie quantique se sont pégasifiés semant la panique dans les observatoires ( mais n’en a-t-il pas été ainsi dans les laboratoires lors de la première révolution quantique touchant l’atome? ). Faut-il se désoler de cette débauche spéculative? C’est peut-être le signe d’une prochaine révolution scientifique. Une partie de nos espoirs se placent sur le CERN, l’autre sur la physique des hautes énergies au-dessus de l’azur. » ( ASTROPHYSIQUE, Préface de Hubert Reeves. Voir plus bas. ) —C’est moi qui souligne.

16- etc., etc., etc. …

Conclusion

Comment les tenants d’un Univers en expansion expliquent-ils ces observations?

 

Attention répondre à ce type de problèmes par des hypothèses non vérifiées justifie que maintenant il est temps de considérer d’autres modèles alternatifs… et pourquoi pas les nouvelles pistes de recherche du «NBBF»… Je reste persuadé que la vérité n’est pas dans un unique modèle d’Univers mais dans la synthèse des modèles cosmologiques actuels..
Toute ces informations ainsi que les prévisions confirmées du «NBBF» justifient ce modèle alternatif.
De plus en plus de spécialistes qui «ont les compétences pour débattre» pensent que nous sommes à l’aube d’une «RÉVOLUTION»!
A ce sujet je vous encourage à lire, parmi tant d’autres, 2 livres de vulgarisation:

Étienne Klein: «DISCOURS SUR L’ORIGINE DE L’UNIVERS» , Flammarion, 2010, page 106
et

Michel Cassé: «ASTROPHYSIQUE», Préface de Hubert Reeves, Editions Jean-Paul Bayol, 2011, pages 55 et 91
Chers lecteurs, n’oubliez pas que selon les prévisions du «NBBF» et ce que l’on cumule déjà comme observations de plus en plus dérangeantes, il faut s’attendre à d’autres observations qui devront faire voler en éclats les fondements actuels sur lesquels repose les interprétations du modèle cosmologique dominant…

Après ces quelques informations je suis toujours prêt à tout dialogue et à toute information complémentaire dans le respect de quelque soit votre opinion personnelle. Les controverses sérieuses, de bon niveau, nourrissent la Science car l’histoire des Sciences nous montre que tel est la voie du progrès. Je souligne au passage qu’un bon nombre d’esprits scientifiques considérés comme «non orthodoxes» nous ont éclairés sur les chemins du savoir. Pour moi un dialogue est inutile est stérile si on a pas l’esprit ouvert à toute hypothèse nouvelles.

Comme l’a dit si bien, un jour, Hubert Reeves:

«Patience dans l’azur»…

Affaire à suivre…

Respectueusement

 

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