Mario Cosentino le 23 décembre 2012
Voici une lettre adressée à tous les astrophysiciens et physiciens pour »prendre date »
En ce qui me concerne ma signature elle fait partie de la liste en référence que voici :
http://cosmologystatement.org/
LETTRE OUVERTE A TOUS LES ASTROPHYSICIENS ET PHYSICIENS
Chère Madame, Cher Monsieur,
Voici un article concernant une liste ( non exhaustive ) des indices qui semblent
nous indiquer que notre Univers ne serait plus en expansion…
Je comprends parfaitement bien que, pour vous et bien d’autres, cette hypothèse vous donne ( peut-être ) »froid dans le dos »!
Mais la liste que j’ai réunie repose sur des faits basés sur des observations astronomiques.
Aujourd’hui je peux dire que le modèle cosmologique du « New Big-Bang Fractal » ( « NBBF » ) quantique réunit les 3 conditions suivantes:
-premièrement: ses équations, contrairement au modèle d’Univers standard, ne font appel à aucun paramètre libre et possèdent des démonstrations. Il n’utilise que les constantes fondamentales de la physique comme, par exemple, G, c, h, α.
-deuxièmement: il possède une logique donc une cohérence interne
-troisièmement: de plus en plus de prévisions sont confirmées soit par des observations astronomiques soit par des expériences comme par exemple celles menées au CERN.
Voici quelques exemples fondamentaux des prévisions, du »NBBF » , qui se sont avérées exactes:
–un Big-Bang liquide mais non gazeux ( la responsable de l’équipe de recherche du CERN ne s’oppose pas à ce que le »NBBF » possède la primauté théorique de cette observation
–une masse du boson de Higgs très proche de la valeur observée
–Observations des galaxies moins 1 milliards d’années après le Big-Bang
–un paramètre Ω = 1
–d’autres sont sur la bonne voie
Aujourd’hui je ne suis plus seul dans ce type de recherche. Nous sommes un groupe de recherche indépendant réunissant de nombreuses disciplines très pointues. Nos thèmes de recherche fondamentale s’orientent vers des études qui semblent ouvrir de nouvelles pistes qui sembles prometteuses comme:
–la dimension fractale de l’espace-temps en cosmologie quantique
-une nouvelle hypothèse concernant les propriétés de la température de notre Univers à T = 2,726 K. Cette température pourrai-elle être constante?
-la mécanique des fluides et la Relativité Générale
-l’hypothèse de l’hélium superfluide, à une température T = 2,18 K , comme candidat sérieux à la matière sombre
-l’énergie sombre comme « éther moderne »
-une nouvelle hypothèse sur l’interaction entre les photons et ce nouvel « éther moderne » et ses conséquences sur l’interprétation des décalages spectraux z vers le rouge en cosmologie
-l’hypothèse de la « granularité » de l’espace-temps » et ses conséquences sur l’interprétation des décalages spectraux z vers le rouge en cosmologie
-l’hypothèse d’une relation entre le plan Soleil-Jupiter-OJ 287
-l’hypothèse d’un Big-Bang qui donnerait naissance non à 1 Univers mais à 2 Univers à parité opposée. Cette hypothèse semble répondre à la question: où est passée l’antimatière?
-la recherche d’équations thermodynamiques nous conduisant à une hypothèse où il n’y aurait aucune »mort thermique » de notre Univers
Nous sommes de plus en plus convaincu que, devant les observations de plus en plus performantes , l’ « état des lieux » de la cosmologie dominante expansionniste est de moins en moins crédible. Devant cet « état des lieux » , d’un avis d’un spécialiste , la situation est très inconfortable.
Cet « état des lieux » cela fait maintenant quelques 20 que je l’attends. En effet c’est depuis janvier 1993 que je tire la »sonnette d’alarme » ( voir mon tome 1 ). En 1995 le télescope spatial Hubble avait déjà confirmé une des prévision du »NBBF » qui concernait le fait que viendrait un jour où l’on observerait «des étoiles plus vieilles que notre Univers»! Il n’était pas facile à cette époque de faire ce type de prévision car, dans ces années là, la cosmologie dominante expansionniste « semblait couler comme un grand fleuve tranquille » …
Bien des fois mon modèle d’Univers à été ridiculisé sans aucune véritable justification.
Mais, maintenant, le vent semble changer de direction… c’est la raison pour laquelle je ne suis plus seul dans ce genre de recherche fondamentale.
Convaincu que cet « état des lieux » va encore s’aggraver ( car, selon les prévisions du « NBBF » , dans un proche avenir un changement de paradigme sera nécessaire si on veux sortir de l’impasse paradoxale fondamentale qui semble pointer à l’horizon ) j’ai récemment envoyé une lettre ouverte à l’Union Astronomique Internationale ( UAI ).
Restant dans l’espoir d’un prochain contact, acceptez, Chère Madame, Cher Monsieur, l’assurance de ma considération distinguée.
Mario Cosentino
Enseignant en Mathématiques & Physique
Formation Universitaire en Astronomie & Astrophysique
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Voici l’article concernant les:
»Indices qui semblent nous indiquer que notre Univers ne serait plus en expansion »
Mario Cosentino le jeudi 21 décembre 2012
INDICES BASES SUR DES OBSERVATIONS QUI SEMBLENT NOUS INDIQUER QUE NOTRE UNIVERS NE SERAIT PLUS EN EXPANSION
INTRODUCTION
De plus en plus d’observations nous montrent que des galaxies lointaines ressemblent aux galaxies locales.
Dans le cadre de la cosmologie dominante expansionniste qui soutien un Univers évolutif cela cause un véritable problème.
Comment pourrait-on expliquer ce types d’observations?
La théorie cosmologique du »New Big-Bang Fractale » ( »NBBF ») quantique nous dit que si l’Univers lointain ressemble à notre Univers local c’est que cela pourrait traduire le fait que notre Univers ne serait plus aujourd’hui en expansion…
LES 3 POSTULATS OU HYPOTHESES DE BASE DU »NBBF »
Voici les postulats ou hypothèses proposés par le »NBBF » résumé en 3 grandes phases fondamentales:
1-un Big-Bang donnant naissance à 2 Univers à parité opposée de même masse — l’un de matière et l’autre d’antimatière. Du fait que dans les équations du »NBBF » mettent en évidence l’existence d’un barycentre cela signifierait que ces 2 Univers tourneraient l’un autour de l’autre.
2-A cause du Big-Bang notre Univers serait entrer en phase d’expansion. Cette expansion aurait durée quelques 18 milliards d’années. Cette dilatation se serait faite par sauts quantifiés. Après cette période d’expansion notre Univers aurait stoppé sa dilatation devant ainsi globalement statique.
3-Cette phase où l’ Univers serait devenu globalement statique n’est pas exclue dans un Cosmos ou il y aurait un équilibre dynamique entre l’énergie potentielle due à l’attraction de la gravitation et l’énergie cinétique ou répulsive due à l’énergie du vide quantique ou énergie sombre.
Dans le cadre d’un Univers basé uniquement sur la gravitation ce Cosmos globalement statique est impossible. Par contre cette hypothèse devient du domaine du possible dans un Univers quantique. Selon les équations du »NBBF » cet Univers globalement statique serait maintenu en équilibre par 2 sortes de vibrations. Les premières seraient des »vibrations radiales » et les secondes des »oscillations périphériques ».
Depuis combien de temps notre Univers serait-il dans cette phase globalement statique?
Selon certaines observations il le serait depuis au moins quelques 60 milliards d’années. D’autres calculs nous donnent une durée minimale entre 100 et 180 milliards d’années.
En tout cas avec cette phase globalement statique notre Univers aurait largement le temps d’édifier les étoiles, les galaxies, les amas de galaxies, les super-amas de galaxies voir les »murailles de galaxies »…
En effet comment expliquer une des très gigantesques structures galactiques comme le grand »mur » d’une longueur estimée à 3,5 milliards d’années-lumière, d’une largeur de 2,5 milliards d’années-lumière et de 50 millions d’années-lumière d’épaisseur dans un Univers qui aurait que seulement 13,7 milliards d’années?
Rendons-nous compte que ce »mur » représente un ordre de grandeur de l’ordre de presque 1 / 4 du rayon observable de notre Univers!
Or ce »mur » , à lui seul, va à l’encontre du principe cosmologique parfait si cher au modèle d’Univers standard!
Pour quelle raison?
Pour la raison toute simple que voici:
les équations du modèle d’Univers standard reposent sur l’acceptation de l’hypothèse que la distribution de la matière dans l’Univers soit homogène. Or on vient de voir que les
dimensions de ce titanesque »mur de galaxies » représente presque 1 / 4 du rayon observable de notre Univers rompant l’homogénéité si utile à la cosmologie dominant!
Si l’hypothèse d’une distribution de la matière dans l’espace-temps ne serait pas vérifiée cela ferait éclater les bases mêmes de l’édifice de la cosmologie standard car les équations reposant sur la gravitation ne seraient valables que dans notre Univers local mais ne pourraient pas être appliquées à l’ensemble de l’Univers…
Selon vous ce »mur » ne mettrait -il pas au »pied du mur » le modèle cosmologique dominant expansionniste?
Dans cette phase où notre Univers serait devenu globalement statique notre Cosmos n’aurait à subir aucune »mort thermique » car sa température actuelle de 2,726 K, qu’il aurait acquise au début de cette phase 3, serait devenue une propriété intrinsèque du vide quantique inter galactique. Pour quelle raison notre Univers aurait-il cette température de 2,726 K? Une hypothèse, qui aujourd’hui est plus qu’une simple hypothèse de départ, c’est de dire que notre Cosmos serait fractal ressemblant à une éponge. Dans la revue Pour la Science – n° 423- janvier 2013 il est dit que »cette éponge fractale peut caractérisée par une dimension comprise entre deux et trois ».[12]
Justement les équations du »NBBF » proposent très exactement comme dimension fractale pour l’espace-temps quantique la dimension fractale D = 2,726 8 qui ne serait autre que l’ »éponge de Menger ».
Selon certaines expériences il semblerait que le fait que notre Univers serait devenu fractal pourrait-être la cause de l’arrêt de son expansion. Voilà pourquoi la température de l’Univers ainsi que l’arrêt de son expansion est aujourd’hui plus qu’une simple hypothèse de départ.
CONCLUSION
Si aujourd’hui de plus en plus d’indices, basées sur les dernières observations, semblent nous indiquer qu’il existe de nombreux problèmes concernant les hypothèses de base du modèle cosmologique dominant expansionniste il est intéressant de savoir que selon le »NBBF » la véritable cause à tous ces problèmes ne serait pas le Big-Bang mais de continuer à croire que notre Univers est encore aujourd’hui en expansion…
Les références qui suivent vont dans le sens des prévisions du »NBBF ». En effet les références qui suivent nous montrent les indices basés sur des observations qui semblent nous indiquer que notre Univers ne serait plus en expansion…
REFERENCES OU LIENS
Voici une liste, non exhaustive d’indices basés sur les dernières observations qui semblent
nous indiquer que notre Univers ne serait plus en expansion…
Il faut savoir que le »New Big-Bang Fractal » accepte un Big-Bang suivi d’une expansion de l’Univers qui aurait durée 18 milliards d’années.
Par contre ce qu’ il refuse c’est de croire que notre Univers est encore aujourd’hui en expansion…
Les problèmes, de plus en plus nombreux, que l’on observe auraient pour cause principale non le Big-Bang mais cette hypothétique expansion de l’Univers où notre Cosmos n’aurait que seulement 13,7 milliards d’années…
Faire la simple hypothèse d’un Univers aurait un âge bien plus vieux que ces quelques 13,7 milliards d’années et les observations paradoxales semblent trouver des solutions toutes simples car le seul paramètre simplificateur semble être l’unique paramètre qu’est le temps ( rasoir d’Occam). Pour cette hypothèse d’un Univers bien plus vieux que ces quelques 13,7 milliards d’années des chercheurs ( voir la référence [11] ) vont dans ce sens qu’est celui d’une des prévisions du »NBBF ». Cela est
encouragent pour le reste des prévisions donc certaines ont déjà été confirmées soit par des observations soit par des expériences comme celles du CERN.
Notez que dans la référence [7] les 2 galaxies S2 et A7 ne présentent pas le même enrichissement chimique pourtant elles sont toutes les deux lointaines et dans une même tranche d’Univers ( z ~ 1,9 ) !
Donc au regard de cette constatation je pense, que cette référence est très intéressante car justement elle aussi fait partie des références qui semblent montrer que l’Univers lointain ressemble à notre Univers local et qu’il ne serait plus en expansion…Ces indices semblent donc nous dire qu’il n’y aurait plus globalement une évolution constante dans l’Univers. Donc s’il n’y aurait plus d’évolution la conséquence directe serait d’avancer l’hypothèse que notre Univers ne serait plus en expansion… Cela n’empêche nullement qu’au cours du temps la très grande majorité des astres naissent et se transforment que ce soit ici ou plus loin dans un Univers observable qui serait devenu globalement statique après 18 milliards d’années d’expansion…
Mais alors comment le »NBBF » explique-t-il les décalages spectraux vers le rouge qui, selon la cosmologie dominante, signifie que notre Univers est en expansion?
Tout d’abord il faut rappeler que l’expansion de l’Univers n’est pas une observation directe!
Si l’observation des décalages spectraux est bien réelle son interprétation est une autre histoire qui n’est pas encore définitive.
Le »NBBF » repose sur l’hypothèse suivante:
les photons voyageant sur des distances astronomiques se déplacent dans un espace-temps qui serait fractal et «granulaire». Selon la théorie de la gravitation à boucles chaque petit morceau de cet espace-temps aurait la taille de la longueur de Planck et aurait un volume indivisible. Cette propriété engendrerait une énergie finie ce qui empêcherait l’apparition de masses volumiques infinies. Avec cette hypothèse nos photons voyageurs interagiraient avec ces petits »atomes d’espace-temps » tant au niveau gravitationnel que quantique. Cette interaction qui ferait perdre de l’énergie aux photons se ferait sans diffusion. Cette perte d’énergie de la lumière n’est autre que la théorie de la »lumière fatiguée » d’ Albert Einstein et autres chercheurs et pas des moindres. Ces »atomes d’espace-temps » , qui feraient perdre de l’énergie à nos photons venant d’objets très lointains, pourraient être l’énergie sombre qui pourrait être à son tour l »’éther moderne »…
Voici ce que nous lisons de l’interaction qui pourrait exister entre l’espace-temps et les photons:
»Enfin, on observera peut-être l’analogie pour l’espace-temps du mouvement brownien: si l’espace-temps est bien de nature quantique, les fluctuations à petite échelle devraient en effet perturber la propagation de la lumière. Une onde lumineuse devant s’ajuster à la matrice discrète de l’espace, plus sa longueur d’onde est petite, plus elle sera sensible aux fluctuations, comme les roues d’une poussette sont
sensibles aux chaos de la route que les pneus d’un camion. En conséquence, des photons de longueurs d’onde différentes se propageront à des vitesses différentes. Cumulées sur toute la traversée de l’Univers dans le cas de sources distantes comme des sursauts gamma, ces différences pourraient être significatives. » [14]
Ainsi si les fluctuations à petite échelle mais sur de très grandes distances viendraient à »perturber la propagation de la lumière » alors la théorie de la »lumière fatiguée » ne devrait pas être ignorée mais être prise en considération par les physiciens et astrophysiciens et cela d’autant plus qu’ils ont affaire à une sorte d’ »éther moderne » que l’on appelle »énergie sombre »…
Au sujet de la »granularité » de l’espace-temps voici un autre commentaire plus récent:
»Ainsi, même s’il n’y a pas consensus sur la question,il n’est pas impossible que la granularité de l’espace prédite par les «boucles» s’accompagne d’une violation du sacro-saint caractère de la vitesse de la lumière. En effet, lorsqu’elle se propage entre les atomes d’un solide, la lumière, si sa longueur d’onde est très grande par rapport à la distance inter-atomique, ne subit pas d’influence du réseau cristallin, comme si elle ne le «voyait» pas. Et sa vitesse est la même que dans le vide. A l’inverse, si sa longueur d’onde est de l’ordre de grandeur de la distance inter-atomique, ou plus petite, elle devient sensible à l’influence du milieu dans lequel elle se propage. Sa vitesse dépend alors de sa longueur d’onde. Il n’est donc pas impossible qu’on photon de très petite longueur d’onde, de l’ordre de la longueur de Planck, puisse voir sa vitesse de propagation dans le vide affectée par la structure quantique de l’espace-temps telle que prédite par la gravité quantique à boucles. » [15]
A la question »La lumière déviée par le vide? » lire la référence [16] où il est question des travaux de recherche d’une équipe de physiciens.
Ainsi, selon nos connaissances actuelles, il ne semble pas exclu que l’hypothèse en un Univers en expansion pourrait-être fausse, un leurre…
N.B.: dans les références ci-dessous les caractère gras c’est moi qui souligne.
[1] »LESS J0332: une galaxie de l’univers primordial révèle une composition proche de l’univers local (…) La composition élémentaire de cette galaxie à seulement 1,3 milliards d’années après le Big Bang, s’est révélée être relativement proche de celle de l’univers actuel ».:
http://www.astronomieamateur17.com/article-less-j0332-une-galaxie-de-l-univers-primordial-revele-une-composition-proche-de-l-univers-actuel-107332426.html
&&&
[2] »Paradoxalement, et en contradiction avec certaines études précédentes, cette galaxie ressemble à ses cousines de notre Univers local »:
http://irfu.cea.fr/Phocea/Vie_des_labos/Ast/ast.php?t=fait_marquant&id_ast=2828
&&&
[3] »deux galaxies de l’Univers primordial plus riches en éléments chimiques lourds que le Soleil »:
http://www.eso.org/public/france/news/eso1143/
&&&
[4] »l’existence précoce de grandes galaxies comparables à la Voie lactée, alors que l’on en a bel et bien observé dès les premiers milliards d’années de vie du cosmos »:
http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/astronomie/d/les-galaxies-grandiraient-aussi-en-recoltant-du-gaz-intergalactique_25731/
&&&
[5], [6] »La galaxie spirale qui ne devrait pas exister »:
[5] http://keckobservatory.org/news/earliest_spiral_galaxy_surprises_astronomers
[6] http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/astronomie/d/bx442-la-grande-galaxie-spirale-qui-ne-devrait-pas-exister_40258/
Justement il vient de paraître dans la revue La Recherche, N° 471, janvier 2013 un article ( de »Françoise Combes, spécialiste de la formation et de l’évolution des galaxies à l’Observatoire de Paris ») intitulé:
»FORMATION La lente évolution des galaxies spirales »
Cet article repose sur une étude de l’équipe de Susan Kassin [13] , de la Nasa, qui a observé avec le télescope Keck »plus de 540 galaxies situées entre 8 et 2 milliards d’années-lumière de la Terre ».
La lecture de cet article est très intéressante car concernant ces travaux il est dit:
»Ces travaux montrent que les galaxies spirales acquièrent leur forme définitive en plusieurs milliards d’années. —C’est moi qui souligne.
Or comment expliquer la présence de la galaxie spirale BX442, bien visible, qui se situe à presque 11 milliards d’années c’est-à-dire dans l’Univers primitif. Cette galaxie a stupéfait les chercheurs.
Il me semble, qu’au regard des travaux de Susan Kassin, la galaxie spirale BX442 aurait du apparaître bien plus tard dans l’histoire de l’Univers. Or, comme cela n’est pas le cas, de simples calculs feraient naître cette galaxie spirale AVANT le Big-Bang… d’autant plus que, selon ces travaux l’existence des galaxies spirales n’est possible qu’après une lente évolution…
Comment expliquerions-nous que BX442 serait plus vieille que notre Univers?
Cette situation semble bien paradoxale n’est-ce pas?
Alors comment résoudre cet apparent paradoxe de la manière la plus simple possible?
Il semble que l’explication la plus simple possible, la plus plausible, serait celle d’envisager que notre Univers serait bien plus âgé que les quelques 13,7 milliards d’années seulement… or c’est justement se que prévoit le »NBBF »…
Certains pourraient dire que cette observation semble unique. Mais en science il faut toujours se montrer prudent devant une observation qui semble ne pas allez dans le même sens. Par exemple si j’étudie 540 plantes dont les feuilles apparaissent avant les fleurs est-il possible de dire que c’est ainsi pour toutes les plantes?
Par exemple que dire du tussilage qui est une plante »qui a pour particularité de fleurir avant
qu’apparaissent des feuilles. C’est la raison pour laquelle son nom populaire est «fils avant père».—Voir mon tome 2, page 86. Pour les références de ce tome allez s.v.p. dans Google et mettre: biographie de mario cosentino
N’oublions pas que les travaux de S. Kassan et al. Reposent sur une étude statistique ou seul l’avenir nous en dira encore d’avantage sur cet intéressant travail de recherche fondamentale…
&&&
[7] »Deux galaxies lointaines passées à la loupe »
( »S2 est très pauvre en éléments lourds alors que A2 présente un niveau d’enrichissement chimique comparable aux galaxies spirales les plus massives de l’Univers proche » ):
http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/astronomie/d/deux-galaxies-lointaines-passees-a-la-loupe_1464/
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[8] »L’amas de galaxies évolué les plus éloigné. Jeune, mais étonnamment adulte »:
»Bien que cet amas soit observé lorsque l’Univers avait moins d’un quart de son âge actuel, il ressemble étonnamment aux amas de galaxies que l’on observa actuellement dans l’Univers local. (…) Mais si de nouvelles observations en trouvaient beaucoup, alors cela pourrait signifier que notre compréhension de l’Univers primitif devrait être revue. » »:
http://www.eso.org/public/france/news/eso1108/
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[9] »En étudiant le rapport entre ce rayonnement infrarouge moyen et le rayonnement infrarouge lointain, les chercheurs ont constater que ce rapport était proportionnel à la taille des régions de formations d’étoiles. Bien que très lumineuses, les galaxies présentent le même rapport universel que les galaxies proches de type «normal»:
http://www.insu.cnrs.fr/univers/extragalactique-et-univers/naissance-des-etoiles-la-plupart-des-galaxies-n-enfantent-pas-dan
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[10] »ses membres ressemblent aux jeunes galaxies de l’Univers le plus lointain’‘:
http://www.eso.org/public/france/news/eso1211/
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[11] »L’équipe a donc avancé les hypothèses que l’univers est bien plus vieux qu’on ne le croit » (…):
http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/019/19494.htm
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[12] David Tong: »Quantique mais non discret » , Pour la Science, n° 423, janvier 2013, page 39
[13] Susan Kassin et al., ApJ, 758, 106, 2012.
[14] Martin Bojowald: »L’Univers rebondissant », Pour la Science, n° 375, janvier 2009,page 33.
[15] »Vers une gravitation quantique », La Recherche, N° 458, décembre 2011,page 42.
[16] http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/physique-1/d/la-lumiere-deviee-par-le-vide_8757/
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Maintenant voici ci-dessous la lettre ouverte que j’ai adressé, le 18 décembre 2012, à l’Union Astronomique Internationale ( UAI ) afin de «prendre date».
Secrétariat de l’Union Astronomique International (UAI) le mardi 18 décembre 2012
Chère Madame, Cher Monsieur,
Ma demande pourrait vous surprendre.
Est-il possible de conserver l’envoi de ce dossier de témoignage dans vos archives?
Pour quelle raison cette demande?
Grace à mes travaux de recherche que je mène depuis quelques 25 années j’ai abouti à un modèle d’Univers qui porte
le nom de « New Big-Bang Fractal » ( « NBBF ») quantique. Ce modèle d’ Univers à été l’objet :
-des félicitations d’un jury Universitaire composé de scientifiques (année Universitaire 2002-2003) de l’Université Jean-Monnet de Saint-Etienne ( un des membres du jury est connu par l’ UAI puisqu’il s’agît de Monsieur Bernard Milet Astronome à l’Observatoire de Nice ) ,
-de la publication de 2 livres,
-d’articles,
-de passages à la télévision,
- radios,
-conférences dans les villes Universitaire, etc.
En France la majorité des astrophysiciens me connaissent.
Aujourd’hui devant les toutes dernières observations astronomiques je constate qu’un certain nombre de prévisions du « NBBF » quantique sont
en bonne voie.
Selon ces prévisions ainsi que l’allure que semblent prendre les observations du ciel, en tranche d’Univers de plus en plus proche du Big-Bang, j’ai l’intime conviction qu’un nouveau paradigme est sur le point de changer un des paramètre fondamental sur lequel repose la cosmologie standard. Ce nouveau paramètre qui devrait entraîner un nouveau paradigme devrait bouleverser l’ âge que donne la cosmologie dominante à notre Univers. Comme vous le savez très bien cet âge est fixé à 13,7 milliards d’années. Or bientôt, selon les prévisions du « NBBF », la cosmologie dominante devrait se rendre compte que cet âge se révélerait être très insuffisant pour expliquer la présence de galaxies, ou d’amas de galaxies, bien formées et presque contemporaines au Big-Bang…le problème serait le manque de crédit du temps pour la formations de ces objets…
Comme vous pouvez le constater l’enjeu est de taille. C’est pour cette raison que je demande à UAI de bien vouloir accepter et conserver mon dossier en témoignage futur car l ‘UAI est une référence internationale.
Au moment approprié je soumettrais un article à une revue à referee . Pour moi ce moment sera approprié lorsqu’il y aurait ce changement de paradigme, reconnu et accepté, par la cosmologie standard. Dans ce contexte les équations du « NBBF », contenu dans mon article, seraient prisent avec encore plus de sérieux du fait que les observations devraient confirmées les prévisions de ce nouveau modèle cosmologique qu’est le « NBBF » quantique.
Merci de votre aimable compréhension.
Dans l’attente d’un prochain contact, veuillez acceptez, Chère Madame, Cher Monsieur, l’assurance de ma considération distinguée.
Mario Cosentino
Enseignant en Mathématique & Physique
Formation Universitaire en Astronomie & Astrophysique
Tél.: ………………………. ; ……………………….